Si Clayesmore Prep se veut être un forum participatif, il n'a nullement vocation à devenir communautaire. Merci donc de bien vouloir éviter l'abus de privates jokes dans les sections ouvertes à l'ensemble du forum. Enfin, le forum se veut être une seconde maison où chacun puisse être libre de venir rp à son rythme, qu'il soit simple membre ou fasse partie staff. Prénom Nom Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Integer ut pulvinar arcu, quis sodales orci. Prénom Nom Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Integer ut pulvinar arcu, quis sodales orci. | | | Mer 12 Aoû - 18:12 Thalia McDaniel Nathalia ''Thalia'' McDaniel Quisque fringilla risus massa, sit amet maximus ipsum suscipit id surnom — contraction devenu prénom. secret jalousement gardé dans la bouche des aimants il y a longtemps. à la douceur malmenée par les murmures dégradants. thalia elle ne cesse pourtant de s'enrouler dedans, cachée entre les lettres qui ne disent pas tout d'elle, enrobée des voix rassurantes des parents qui le prononce comme une caresse. âge, lieu de naissance — jeunesse onirique qu'elle rêve éternelle, dix-huit ans suspendue aux étoiles à rêver de la lune. Éclose sur les rives américaines que maman avait rejoint, courant le sourire aux lèvres, pour embrasser l'amour et en couver le fruit. nationalité — s'il n'a pas l'étoffe des plus grands du continent, le nom porte l'étendard des couleurs américaines, donné tant de fois qu'il est devenu banal. Pourtant honoré de gloire, devenu gonflé aux réussites familiales. situation familiale — le père couve l'enfant de ses bras qu'il veut faire couverture, rempart contre le monde et sa douleur. Il y a l'enfant qui pleure contre sa chemise, ou rit dans son cou, se fond dans la chaleur rassurante de cette famille-univers qu'il est à lui seul. Entre eux, la mère-fantôme au sourire mélancolique, fière et triste. Son souvenir danse entre le corps des vivants en soufflant le froid de son absente présence. Et s'ils se serrent si fort l'un contre l'autre c'est pour qu'elle ne les quitte jamais vraiment, coincée entre leurs cœurs. situation financière — couverture paternelle tissée de fil d'or. couvée depuis toujours à l'abondance de l'amour et l'opulence qui ne faisait craindre aucun lendemain. Certaine de pouvoir tout explorer puisqu'il soutiendra mille voyages, il croira en mille rêves. Il pourra tous les lui offrir, parce qu'il l'aime. orientation sexuelle — portrait standard d'une jeunesse qui pense devoir se chercher. Elle n'a aucune réponse à apportée, elle dirait hétérosexuelle simplement admirative des courbes graciles de celles qui lui ressemble. Pas prête à sauter le pas sans doute, mais avide de s'en abreuver du regard comme elle jauge pourtant tout le monde. côté coeur — facilement entichée, naïvement dupée mais jamais accompagnée. célibataire malhabile à la fâcheuse tendance à croire aux histoires sans avenir qu'elle enjolive de rêves et d'espoirs nés sans doute de ces contes amoureux qui finissent bien dans les pages vieillis d'un roman à l'odeur de promesses fallacieuses. Paradoxalement trop craintive aussi pour s'y laisser prendre réellement. maison, année d'étude — on l'entrevoit, discrète, aux abords des couloirs de swynford. esquisse d'un rictus aux coins des lèvres serrées et des salut du bout des doigts tâchés de couleur et de paillettes. Abordant la cinquième année les yeux clôt, sans grand intérêt pour le stoïcisme prétendument attentif qu'elle doit offrir aux professeurs qui conte des préceptes qu'on lui demande de retenir. Ils s'échappent déjà tous, avalé par les rêves qu'elle s'invente les yeux sur la fenêtre. occupation — amoureuse des mondes qu'on s'invente, crée de toute pièce à la force de l'imaginaire. Elle façonne des hier et des demains qui ont l'éclat des rêves impossible, parfois elle y épanche ses douleurs dans des œuvres sombres sur lesquelles elle jette les paillettes de mensonges. dans le club d'art où sa liberté d'être règne en maître. Sous les coups de pinceaux ou les collages qui n'ont aucun sens. L'argile sous ses mains ou la pierre à polir. choix de carrière — se disant parfois destinée à aider le paternel dans les affaires, elle s'est engoncé dans l'économie avec l'idée de devenir l'extension de sa volonté. Ils ne sont dupe ni l'un ni l'autre de la voie qu'elle empruntera plus tard, aucune qui ne se compose de cadre bien défini, certainement pas celle qui mène à des bureaux aux portes closes, même si elles sont vitrées. à clayesmore depuis ? — le début, les prémices d'une évolution lancée dans un environnement qu'il pensait idéal. arrivée à la première année pour fleurir à la lueur de ce qu'on jurait être le meilleur réputation — fantôme sous projecteur. propulsée sur l'échafaud de l'opinion publique qui murmure dans son sillage des histoires qu'elle ne connaît pas mais qui porte son nom. l'autre fille sous ses airs de sainte ne peut que cacher le vice. La barque solitaire prise dans les eaux tumultueuses des adolescents au jugement tranchant. signe distinctif — les ongles de musicienne toujours bien limé mais les doigts toujours salie de ses œuvres inachevées. la démarche assurée qui camoufle mal le regard fuyant. l'alliance maternelle à son annulaire droit qui rassure dans les instants troubles. regard paradoxe, engageant et craintif. Distinguée surtout par sa discrétion, thalia qui ? jusqu'à la chute. avis sur corvus — rancune tenace arrimée à ceux qui propage les ragots qui savent si bien bousculer les vie. corvus à sur elle l'effet d'un poison inodore qu'on risque à tout instant d'inhaler. Inquiète de se trouver encore sous le joug des révélations qui explosent sur la place publique quand elle ne cherche qu'à retrouver les ombres qui la gardait masquée des regards de bien pensants hypocrites. moodboardsoleil de nuit .trouble with herself. regard-caresse. sourire-tendresse. overthinking. voie lactée. éclatée. toile abîmée. pills&champagne. éclipse solaire. melancholy. écume sur la peau. amour, âmour. danse alone.- Spoiler:
「 daddy's girl 」 elle va encore s'asseoir sur le bras du fauteuil lorsqu'il fume dans le patio. Elle enroule encore son bras autour de son cou sans prononcer un mot, respirant juste l'odeur familière de l'amour qu'il exsude, écoutant les silences qui murmurent leur affection en observant les étoiles qui sourient à leur portrait de famille. Ils portent en eux une beauté tragique, de cet amour filial sans mesure qui les rend aveugle aux troubles de l'autre. Il y a longtemps qu'ils ne voient plus – l'ont-ils jamais remarqué ? - les fléaux qui font rage dans leurs cœurs. Papa ferme les yeux sur l'errance de sa fille camouflée derrière les sourire-soleil et les mots doux. Thalia ne voit plus la douleur gravé au fer rouge dans les yeux paternel chaque fois qu'il distingue dans le visage de sa descendance le souvenir glorifiée d'un grand amour perdu. Et qu'importe d'être aveugle s'ils s'aiment assez pour ressentir. 「 legacy 」 un soubresaut inattendu de sa main et elle tremble toute entière. Esquisse dans son esprit les cauchemars qui l'empêchent de s'assoupir. Elle voit maman toute en spasmes et démence qui oubliait de reconnaître son visage lorsqu'elle venait lui dire je t'aime. Gènes abîmés qu'elle craint de porter. Parfois, elle jauge ses iris dans le miroir, cherchant au fond des pupilles affolées des signes annonciateurs d'un carnage. Elle regarde papa avec mélancolie, désolée de devenir peut-être un jour – elle aussi – un fardeau pour lui. Angoissée de perdre la tête à son tour, quand elle a pourtant tant construit dedans. Un monde entier bâti de songes et de rêves cajolés depuis l'enfance qu'on risque de lui retirer. La réalité qui un jour pourra se distordre pour ne devenir qu'une image flou qu'elle ne saura plus distinguer. Thalia, elle n'a pas peur de la mort mais de cesser d'exister en étant toujours vivante. 「 artwork 」 émotions réprimées, expulsées sur les œuvres sur lesquelles elle déverse toute ses tripes, dans les couleurs criardes qu'elle jette sur les toiles, sur la mélodie envoûtante d'un violon qu'elle use jusqu'à lui couper les cordes vocales. Agitée à parler sans rien dire mais tout montrer. Elle expose au monde le chaos d'un esprit que personne ne saisit, éreintée quand l’œuvre est achevée comme lorsqu'on termine un marathon. Essoufflée d'avoir tant donné, de cette fatigue sirupeuse qui rend le corps plus léger. Elle n'est elle-même que dans la cacophonie imagée qu'elle range dans son placard avant de redevenir fantôme au sourire serein qui ne montre de lui que la face solaire. jusqu'à l'éclipse. 「 futur 」 qui serons-nous demain, quand le temps aura filé ? Qui serons-nous lorsque les belles années seront passées ? Y aura-t-il des gens heureux de ce qu'ils sont devenus ? De ce qu'ils ont vu et vécu ? Regretteront-ils la jeunesse glorifiée, la santé perdue, les amours oubliés ? Elle a l'angoisse des lendemains chevillé au corps, ils sont trop flous et incertains. N'ont le goût d'aucune certitude. Elle les rêve souvent – toujours beaux et étincelants – paradoxalement trop optimiste pour ne pas voir autre chose que le bon. Éduquée dans le cocon dorée qui rend les horreurs en erreurs puisque demain ça ira. ça ira. ça ira ça finira par aller, toujours. Un jour. S'il n'y a pas l'espoir, que reste-t-il ? 「 she is 」 sourire ancrée sur les lèvres, solaire ou glacial. Mais sourire quand même. Elle sourit bonheur, elle sourit chaleur. Elle sourit rempart contre les dagues dans le cœur. Elle sourit, protection contre la douleur. Haussant les épaules avec l'indifférence hypocrite qui jure que rien n'est grave. Haute si haute, au dessus de ça – des bassesses qui n'atteignent pas – et le cœur qui saigne, qui se déverse comme l'océan mais qu'importe puisqu'elle sourit. Fragile mais brillante. Étincelante d'un bonheur qu'elle a façonné à la force de ses illusions, des espoirs déçus puis rebâtis. Puisque le monde est décevant, elle le prend les bras ouvert sans jamais le retenir. Elle le laisse glisser là, pour choir à ses pieds. Autour les ruines et elle, debout. Les jambes solidement ancrés dans le sol duquel elle ne flanche pas avant de retrouver le cocon rassurant d'un lieu vide de regard et de jugement. Thalia ne s'étiole que dans les instants éphémères de solitude, lorsque son esprit alambiqué ne sait plus trouver la lumière. Elle se brise là, en un milliard de morceaux qu'elle recolle – artiste – dans n'importe quel sens. Elle redessine un sourire à l'encre de soleil. et si la statue est bancale elle n'en est pas moins belle. |
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