| Jeu 13 Aoû - 22:06 Lion de Loughrey lion de loughrey Quisque fringilla risus massa, sit amet maximus ipsum suscipit id surnom — lion, beau démon, y a une envie de fuir qui sauve, face au rugissement du fauve. âge, lieu de naissance — vingt ans, des années quc'était badant, mais devenu bien trop excitant, d'jouer au jeu des grands. y a rien d'plus exaltant, qu'enfin, qu'on n'te voit plus comme un enfant. nationalité — enfant qui se dirait roi, sur une terre natale tout à toi. c'est quc'est ancien, qu'les de loughrey sont américains. situation familiale — il y a de ces familles anciennes, celles qu'ont fait tant de siennes mais qui ont décrété que la terre était la leur, quand ils l'ont foulé dès la première heure.
de loughrey, famille ancestrale, de loughrey, y a eu tellement d'râles. et de drames. quand dans certaines générations, des jumeaux arrivés, l'un finissait toujours enterrer.
on raconte que depuis le début, ils sont damnés, d'un pacte avec le diable incarné, bien avant qu'les sorcières soient chassées, pendant que la religion s'est imposée.
papa, maman, medea et lion. deux en un, uniques quand ils ont quelques cousins. situation financière — eux. et la famille des biens heureux. des pères fondateurs de la ville, sans qu'jamais ça vrille. ou presque, leur réussite se peint sur une jolie fresque tout en se demandant comment ? comment arrivent-ils toujours à être plus grands ? orientation sexuelle — graciles, dociles, ces jolies filles pas si faciles. elles sont belles, sensuelles, de jolies fleurs à la sève au doux goût de miel. elles sont heureuses, l'temps d'un instant, tombant malheureuses, quand vient la fin des coups d'reins battants. côté coeur — dangereuses et sensuelles, qu'tu les aimes. elles sont rêveuses de contes des merveilles alors qut'es trop souvent cruel. y'a rien, jamais aucune promesse, leurs corps qui se délaissent, leurs cœurs que tu agresses et blesses, à les laisser dans leur plus infime tristesse. maison, année d'étude — la tradition familiale, il a fallu que t'y ailles. là où les pions se préparent, l'ambition comme un art, ravenswood depuis six années, un chemin tout tracé, pour un éco trop tôt condamné. occupation — membre d'inglorious basterds, la logique suite, simple membre auprès d'comportements parfois à la logique d’huître. mais tu dis rien, parce que t'es qu'un sale chien. ça fait rire, le côté malin. ça te plaît, toujours malsain. et puis t'aimes aussi ça, le ballon à la main, halfback, t'défouler sur le terrain. choix de carrière — c'pas ton choix, c'est celui de papa, celui qui dicte les lois, et pourtant c'est l'héritage que tu attends qu'il te revienne de droit. qu'enfin, tu dises à moi. c'est pour reprendre les comptes, investir, gérer vos possessions comme un comte. à clayesmore depuis ? — trop longtemps, un passé qui devient d'antan. ça fait depuis tes quatorze ans, où t'étais encore qu'un enfant, loin de ces histoires de grands. à croire que le monde était simplement grand, à s'faire à pas de géant, sans savoir encore que tu faisais parti des méchants. réputation — parait qu'ils sont damnés, les jumeaux maudits aux quelques secrets. y a le mystère, des rumeurs qui errent en quelques chuchotis dans les airs. c'est vrai quc'est étrange, ces histoires qui dérangent.
c'est vrai qu'ils ont eu quelques soupçons, faut dire : qu'ça devait être elle, medea, ou toi, à porter l'unique blason. qu'on avait vu aussi dans l'cou d'alana ton joli suçon, qu'on vous avait vu, medea et toi, vous comporter auprès d'elle comme des cons avant sa disparition.
et pourtant, on n'ose, contrarié et parlé sur la rouge rose, on craint d'devenir qu'pour lui qu'une maudite chose. y a de cette aura, d'fascination pour le joli garçon, y a de cette aura, d'crainte d'être marqué(e) de l'empreinte.
populaire, prince d'une nouvelle ère ennemis qu'on n'veut pas, d'peur d'tomber bien bas. signe distinctif — et y a dans les regards, des airs d'malin, y a dans le coin des lèvres un sourire aux prémisses d'un moment malsain. y a dans le sillage, une senteur démone, le chant d'une maléfique gorgone. odeur sapin, on dit qu'il n'y a jamais rien d'sain, quand y suit la fumée du dernier joint.
les chevalières et bagues aux doigts, à étaler sa richesse et son héritage de roi.
y a medea, jamais bien loin. trop souvent, au détour d'un couloir, les ombres noires. celles des deux enfants d'satan, qui chuchotent en vous regardant. ils ont les sourires suffisants, les yeux comme s'ils regardaient quelque chose de marrant, c'est énervant, parfois excitant ou angoissant, avant qul'intérêt file au souffle du vent. avis sur corvus — qu'tu t'en voudrais, d'pas y avoir pensé. quand medea l'admire, tu l'as dans ta ligne de mire. c'est qu'il pourrait vous baiser, vous et vos petits secrets. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Pellentesque et faucibus quam, nec pretium elit. 「 anecdote 」 Aenean blandit leo vel eros euismod cursus in eu velit. Sed volutpat interdum tellus, sit amet finibus ipsum commodo ac. Nam cursus ultrices est, ac vestibulum nunc ornare in. 「 anecdote 」 Nunc porttitor porttitor nibh, vitae vehicula elit viverra et. Donec ac dui diam. Fusce dui elit, molestie id molestie a, fringilla sed ex. Etiam nec vehicula magna. Aenean et quam fringilla, tincidunt nibh ac, fringilla erat. 「 anecdote 」 Proin tempor purus et quam gravida, et luctus nisl feugiat. Vestibulum sit amet blandit ante. |
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