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Medea de Loughrey
Medea de Loughrey
Posts : 254
Points : 118
 délicate frayeur.
Sam 15 Aoû - 23:07
Medea de Loughrey
fille des ombres.
danse ténébreuses.
le silence de la nuit qui t’enveloppe à la quiétude sommaire du campus vidé de ces étudiants. le néant en réponse à ton cœur battant de l’effort. jogging à l’interdit du couvre feu pour la douceur de tes mauvaises habitudes. l’échappé dont tu avais besoin au loin de tes démons qui parfois t'oppresse.
m e d e a
à toi qui cours pour respirer.
à toi qui t’essouffles pour te libérer.
m e d e a
à toi qui vole pour vibrer.
à toi qui vole pour te recentrer.
de ces minutes qui s’écoulent au tic,tac des heures qui te dépasse. toute notion d’un temps oublié de tes pies défilant sur les pavé. de ton regard absorbé par les lueurs de l’astre nocturne. la nuit en compagnie de tous tes songes en éveillés.  
y’a qu’toi et tes pensées.
y’a qu’toi et tes envies démesurées.
tu te faufiles dans la pénombre pour ton seul souffle en mélodie de la nuit. harmonie de la nature qui t’entoure pour la forêt laissé derrière lorsque tu pénètres dans l’agora. à ce bâtiment qui n’perd pas de sa superbe à la nuit tombé. à celui qu’tu n’foules que rarement le jour levé. de tes uniques intrusions nocturne pour te restaurer.
jusqu’au jour ou tu te feras prendre.
de tes angéliques excuses tu te rattraperas
m e d e a
comédienne en éternelle.
ange corné en merveille.
à la lueur de ton téléphone tu entre dans la cuisine de ce chemin qu’tu connais par cœur. d’cette première fois dont tu t’souviens comme un hier. d’cette fois ou il t’avais emmener pour une glace pour qu’tu finisse dans son lit. d’cette fois ou c’était toi qui avait gagner. encore. toujours. de cette victoire en seule solution.
mais un jours tu perdras.
un jour tu t’effondreras...
...et j’serais là,
m e d e a
j’serais là à regarder.
te regarder sombrer.

dans la chambre froide tu entre en prenant soin d’en laisser la porte ouverte à ta peur panique d’y rester enfermé. les étagère du fond qu’tu rejoins pour un bruit qui fait stopper ton cœur. ton heure est p’t’être venue comme celle d’alana. l’karma du chacun son tour ou d’cette roue du destin qui tourne. triste fin d’mourrir dans les cuisines d’cette maudite académie, t’en rigolerais presque quand tu t’retourne pour faire face à ton ombre. -y’a quelqu’un ?!- qu’tu lances bouteille de jus en main, c’est pas malin alors qu’tu t’avance vers la porte qui s’claque sous ton nez. d’un crie étouffé, d’un pas reculé quand tu manque de tomber rattrapé par des bras musclés. tu t’en échappe la bouteille brandit telle une arme sous les unique lumière de sécurité pour vous éclairer. - approchez-pas, j’peux frapper fort, faut pas croire…- encore loin de toi l’idée qu’tu t’es mise dans de beaux draps.

@panayiotis saint-james délicate frayeur.  1566898912  
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Panayiotis Saint-James
Panayiotis Saint-James
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Age : 44
 délicate frayeur.
Dim 23 Aoû - 18:44
Panayiotis Saint-James
le défi.
la lueur du feu dans ses yeux à elle qui n’sert qu’à renvoyer à son propre brasier qu’il a dans les tripes, l’répand dans ses prunelles à lui et les incendies ardents s’reflètent l’un et l’autre.
l’appel à son intelligence comme provocation, c’est possiblement sa stupidité qui y répond favorablement – ironie. stupidité qui cherche à prouver la supériorité de cette dite intelligence.
l’enquête à travers toute l’académie – ou plutôt chasse aux trésors. pour retrouver le fameux objet caché – peu importe sa valeur, ce n’est pas tant l’objet qui compte mais s’il arrive à le traquer et mettre la main dessus ; c’est même probablement une simple montre qu’elle a gagné à une fête foraine.
les indices éparpillés partout ; qui ne mènent pas à un autre indice, il faut qu’il utilise son cerveau et regroupe certains pour qu’ils aient du sens. des indices qu’il ne connaît pas ; ni de forme, ni de fond. qu’il va devoir découvrir et décrypter.
la nuit comme élément principal et primordial de la mise en scène. parce que la solitude, le vide et l’espace qui vont de paire avec la nuit sont plus importants que jamais pour lui. parce que dans l’obscurité ambiante, tout est perçu différemment.

le défi.
la lueur, l’appel, l’enquête, les indices, la nuit.
c’est ainsi que panayiotis se retrouve à errer dans la pénombre de l’école avec un but bien précis et particulier.

le silence est non-existant. l’existence d’un mot pour une chose qui n’a jamais véritablement existé.
on pourrait le penser.
l’atmosphère lourde et pesante à l’agora, sans tout le vacarme habituel qui décore les lieux. on pourrait penser que c’est ça, le silence. cette pression invisible qui vient caresser les épaules pour appuyer presque imperceptiblement dessus, et s’immiscer dans l’inconscient comme une hantise.
mais ce n’est pas un vrai silence.
les bruits hasardeux lointains de voitures qui se seraient perdues dans l’coin. la tuyauterie qui s’exprime enfin loin de tous ces étudiants. et surtout les pas de l’enquête amateur qui tape, frappe sur le sol, résonne, retentit contre les murs qui communiquent eux aussi.
démarche déterminée et confiante, il est proche du but. il le sent, il le sait.

c’est peut-être trop sûr de lui, c’est peut-être trop égocentrique qu’il ne se doute pas un seul instant de ce qui est sur l’point de lui arriver, et qu’il n’aura pas l’temps de réagir.

rapidement, il s’aperçoit qu’il n’est pas seul dans les parages. la lumière de la chambre froide allumée, les yeux qui la captent immédiatement comme un contraste presque violent avec la noirceur environnante, et les bruits – pourtant discrets – qui accompagnent le rythme de sa respiration.
sourcils froncés, évidemment sa curiosité est titillée et il n’met qu’une petite seconde à céder avant de se diriger vers le foyer de ces sonorités.

une voix qu’il connaît.
une voix qui a peur.
une voix qu’il n’arrive pas à s’remettre.

absolument pas l’temps de dire ou d’faire quelque chose, son dernier pas précipite et provoque un mécanisme implanté, piégé ; la porte de la chambre froide se referme brusquement, le frappant violemment et le projetant à l’intérieur.
l’autre personne – jeune femme, à l’évidence – est bousculée aussi, panayiotis a l’premier réflexe de la rattraper avant qu’elle n’puisse tomber ou s’cogner à en s’faire mal aussi. mais son poids sur son bras qui vient d’être asséné d’un sale coup, il grimace de douleur. – du calme tigresse, j’vais pas t’faire de mal. » sauf que c’est ce qu’un prédateur dirait aussi. alors, pour accompagner ses paroles et prouver sa bonne intention, il la lâche et s’éloigne d’elle. il n’va pas risquer d’se faire frapper et mouiller par du jus d’orange. probablement qu’il se transformerait en glaçon à l’arrière goût d’orange, alors que son corps ressent rapidement la température ambiante.

lumière de merde qui déglingue la rétine, mais lumière quand même. dans les reflets ombragés, il arrive à reconnaître l’visage comme une étudiante qu’il a en classe – filière scientifique ? et peut-être plus, il a la sensation de la voir un peu plus souvent que juste derrière un bureau d’bois – (conseil des élèves et cheerleading). impossible de s’remettre l’nom, par contre. il n’a pas créé de lien avec elle. – promenade nocturne ? » aucune animosité ou remontrance dans sa voix absolument neutre.
pas non plus d’attente de réponse alors qu’il essaie d’ouvrir la porte. fermée et pas de possibilité de l’ouvrir de l’intérieur. tentative futile presque infantile de donner un p’tit coup dedans pour tester sa résistance – grande, évidemment.
super, ils sont bel et bien bloqués.
et il grimace de la souffrance physique qui se diffuse dans son bras droit.

( @medea de loughrey délicate frayeur.  1377703673 )
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