KEYWORDS
SMART, SEXY, SAVAGE ;
fucking too intelligent, really ; (mégalomane narcissique) ;
sarcasm isn’t an attitude, it’s an art ; connard égocentrique ; l’art des mots qui blessent ;
affuté, aiguisé, aigri, acerbe, amer ;
notorious rebel nonconformiste ;
déconstruction absolue de la morale ;
l’esprit scientifique ;
D A D D Y ; dit ce qu’il pense, sans retenu ;
let his desires speak freely ;
oversexualized ;
what a fucking player and a fucking tease ; mauvais perdant ; l’égo surdimensionné disproportionné ;
damn sexy damn hot ;
d é s a g r é a b l e ; petit con ;
he ain’t a fucking hero ; idéaliste cynique ;
flux between chaotic good and chaotic evil ;
L I O N ;
r o c k ‘ n ‘ r o l l ; (BLACK SUN) ;
addicted to something, but what ? ; noirceur magnétique ;
s e x ; C H O C O L A T E !! ;
insomniaque & hyperactif ; v i o l e n c e ;
he ain't a good guyWHO ARE YOU ?
「 les saint-james 」 arrogance démesurée qui n’a de limite que leur narcissisme, ironie lorsque l’on sait que la famille est plutôt bien vue et apprécie
du peuple depuis des générations. il s’dit que l’ancêtre saint-james était
ami avec le gouverneur abernathy clayesmore ; il s’dit que grand grand grand (etc…) papy a épaulé son
fameux ami dans la création d’une éducation puritaine ; il s’dit que l’
vieux – pourtant oublié – était présent à la naissance de l’académie. jolie –
ew – histoire qui est rentrée dans l’passé officiel de la famille, qui se perd toutefois dans les méandres de l’édification de l’établissement. panayiotis il s’rit de ces
on dit. pour lui, ce n’est que
légende urbaine, connue exclusivement d’eux.
les saint-james,
putain. famille qui orne la vie politique du pays, et trône sur les rangs les plus hauts, depuis tant de générations maintenant. père
whip, mère
secrétaire d’état et grand-frère
diplomate maintenant. malgré l'aristocratie dont laquelle baigne leur sang, ils sont tous
démocrates. il est difficile de ne pas passer inaperçu. parce que l’patronyme résonne de partout, et parce qu’il est l’saint-james anormal. fierté d’une anomalie qui lui fait bomber l’torse subtilement et étirer ses lèvres dans un rictus sarcastiquement joueur.
「 les jumeaux 」 curiosité piquée au son dissonant d’une cloche qui aurait loupé sa note, pourtant de peu mais ça suffit à mettre la place à l’oreille de panayiotis. la fin de ses années clayesmore, en théorie loin de sa famille –
thanks god. néanmoins, ‘y a le
paternel qui marchait plus très droit – ‘façon de parler. il l’cachait bien, politicien de haut niveau, mais ce n’était pas bien difficile de le remarquer, lui qui est d’habitude si
parfait. l’
secret qui règne dans la famille,
impossible de savoir exactement ce qu’il s’passe et s’est passé. pourtant, à vingt ans pan est l’roi pour foutre son nez là où il n’doit pas.
‘y a un truc, il l’sait, mais quoi ? les indices arrivent au fur et à mesure du temps, il sait être patient même si ça n’a jamais été une de ses principales vertus. et deux décennies plus tard, il s’retrouve face à ces
deux gamins qui n’savent pas ce qu’ils foutent là, qui n’savent pas d’où ils viennent. des
demi-frères cachés, pan en est sûr. des enfants que son père n’a pas eu les couilles – ironie – de reconnaître. des élèves à lui, évidemment, qu’il observe de loin. parfois s’rapproche un peu trop au risque de se brûler les ailes et
faire éclater la dure vérité.
「 clayesmore part one 」 c’était d’une telle
évidence.
destinée écrite dans son adn encore même au stade du fœtus, comme un contrat à signer au moment il sortait sa trogne dégueulasse pleine de placenta de l’utérus, sinon il retournait direct dans les abysses. comme l’frangin avant lui, son père, sa mère, les grands-parents paternels, mais aussi maternels, les ancêtres du daron et probablement aussi ceux de la daronne, panayiotis est allé à
clayesmore. il était attendu comme le messie, il en rit encore lorsqu’il y repense – il s’rit de beaucoup de choses, c’con, sans peur de blesser, même dans l’espoir que ça dérange. l’p’tit dernier des saint-james, il devait bien être comme l’aîné et les parents avant, n’est-ce pas ? oui,
il était attendu comme le messie, il est arrivé comme l’apocalypse. l’adolescent qui dit et fait
f u c k à toutes les pensées – préjugés – qu’on pouvait avoir de lui.
au revoir cromwell, bonjour falcone. à aucun moment il n’est rentré dans les rangs, ne s’est rangé comme l’a fait les siens avant lui.
troublemaker que trop intelligent, qui s’fait entendre et provoque affaires sur catastrophes pour
bousculer les mœurs en place et détruire les privilèges de tous ces petits blancs que trop riches – bien qu’il en fasse partie. il est devenu rapidement
populaire, pan. de son patronyme, mais surtout de ses actions virulentes et de sa langue acerbe bien pendue.
populaire, mais
on le détestait ou on l’admirait, pan. on ne l’aimait pas. on le détestait ou on l’admirait, pour ses idées véhiculées. parce que malgré tout il reste cette grande figure charismatique et séduisante. mais on ne l’aimait pas, oh non. difficile de l’apprécier lorsqu’il n’en a rien à foutre. il est un
rebelle – aux yeux de tous et toutes, et se nourrit de cette réputation qui le met sur un
piédestal – toutefois, il n’en reste pas moins un
petit prince. il n’est pas à clayesmore pour se faire des amis, mais pour remettre les gens à leur place, le monde à sa place. panayiotis est un
mégalomane exécrable.
「 l'accident 」 roi d’son monde, l’égocentrisme à son apogée, et l’étudiant qui fait ce qu’il veut quand il veut, alors que l’établissement ne lui appartient pas. les professeurs ont arrêté de se battre pour lui interdire des choses auxquelles il trouvera toujours la solution, légale ou détournée, pour les obtenir finalement. la balade interdite mais habituelle dans les laboratoires de sciences, parce que lorsque pan n’est pas entrain de faire entendre sa voix militante, il
s’adonne et s’abandonne à la science qu’il lui est magnifique.
molécules aux nuances lyriques de ses yeux passionnés. il a entraîné une autre étudiante à sa suite. une étudiante dont il n’a pas grand chose à foutre, mais dont il se sert sans honte ni hésitation, et qui le suit comme un bon toutou parce qu’elle est veut son foutre, justement.
connu pour son génie, connu pour ne jamais être tenu en échec. c’est pourtant ce qui arrive cette fois-ci.
l’expérience qui tourne mal, l’expérience qui tourne à la
catastrophe, l’expérience qui tourne au
drame,
l’expérience qui tourne à la blessure grave. explosion chimique, les bouts d’verres partout. la salle dans un état pitoyable, du verre qui se plante dans le bras de la jeune femme – dont il a évidemment oublié le nom. mais surtout
du verre et des produits qui valsent dans l’œil gauche de pan. l’petit roi qui hurle de douleur alors que sa prunelle pisse l’sang, et sa partenaire de crime de cette fois qui fait fi de sa propre douleur pour l’emmener d’urgence à l’infirmerie – direction l’hôpital. œil qu’ils n’ont pas pu sauver,
perte quasi totale de la vision. un aveuglement de l’œil gauche qui ne fait que
s’empirer avec le temps. accident qui laisse des traces également visibles, alors que son
iris est d’un bleu si clair qu’il apparaît presque comme translucide. des
migraines chroniques qui sont liées, évidemment, et des
douleurs insupportables au niveau de l’œil gauche par moments qui semblent aléatoires.
「 harvard 」 gueule à qui veut l’entendre qu’il veut
faire péter les privilèges de l’intérieur. jeune homme rebelle qui crache à la gueule de tous ces fils et filles de, alors que lui-même en fait partie.
hypocrisie de sa propre destinée par rapport à ses valeurs, réelle volonté honnête de continuer sur ce chemin pour tout faire péter de l’intérieur, ou tout simplement égo incontrôlable ? summa cum laude de sa promotion à clayesmore, et l’portefeuille qui débloque n’importe quelle porte, l’jeune saint-james se dirige dans les rangs d’
harvard pour poursuivre ses
études en sciences. énorme campus, popularité moins évidente qu’à clayesmore, l’p’tit
homme qui réussit quand même à s’faire un nom parmi toutes ces grosses têtes. c’est la période où l’frangin commence à s’faire un chemin dans l’monde politique,
comme papa et maman. on aurait pu croire que cette montée – de laquelle il est très fier pour son ainé, même s’il se moque un peu de la lignée parfaite avec les parents – lui aurait fait de l’ombre, mais il n’en est rien. panayiotis se donne encore plus de visibilité alors qu’il se détache définitivement de sa famille, comme étant celui qui ne suit pas une carrière en politique.
「 elle 」 pour l’meilleur, panayiotis change pendant ses années à harvard – il faudrait peut-être plus parler d’
évolution que de réellement changement, parce que dans le fond il reste indéniablement lui-même,
version plutôt parfaite de qui il est. peut-être est-ce l’âge, la sortie officielle de l’adolescence qui l'
adoucit – mais il ne faudrait
pas dire éteindre sa flamme brûlante, ou même grandir parce que s’adoucir n’est pas nécessairement synonyme de maturité. peut-être est-ce les
rencontres qu’il fait. cependant, il n’fait aucun doute qu’
elle y est pour beaucoup de choses.
elle l’a touché en plein cœur,
elle a touché
son cœur – ce qui n’est pas une mince affaire. elle est probablement la première personne qui arrive à parler à
ses émotions plutôt qu’à sa raison – qui sont pourtant souvent liés, bien que l’un prenne le dessus sur les autres. elle arrive à
mater la bête qu’il est, il est sur l’cul et impressionné. ce n’est pas tant qu’il la laisse faire, qu’il aime qu’elle le prenne ainsi. bien sûr,
panayiotis l’aime. il l’aime d’
un feu trop intense, parce qu’il n’sait pas faire autrement. ils s’aiment pendant
huit ans, avec quelques cassures de temps en temps parce que pan restera pas à tout jamais, pour le meilleur et pour le pire. elle
rythme ses années à harvard, elle
orne son début de vie en tant qu’adulte travailleur. mais
tout s’arrête brutalement, cette belle
histoire d’amour d’une passion douce n’est plus. à cette fin, il ne ressent que
souffrance et haine enragée. l’
cœur brisé, panayiotis qui fuit l’amour, dorénavant.
「 clayesmore part two 」 ça a été comme
un appel à l’aide. trop fier pour réellement tendre la main vers quelqu’un que l’on puisse l’attraper et le rattraper, il a rampé de lui-même dans les abimes marines en quitte de trouver un
répit d’oxygène.
adieu sa carrière de physicien, après des mois de néant abyssal, c’est une
ancienne maison qui lui ouvre ses portes et lui offre un peu de réconfort.
possesseur d’un doctorat et ayant déjà une réputation dans l’académie – bonne malgré son passif de rebelle –, panayiotis n’a eu aucun mal à s’faire accepter dans
les rangs des professeurs de clayesmore. de docteur à professeur, il pensait y rester deux ans, trois maximum ; il pensait que ce serait une parenthèse dans sa vie promise à de si grandes choses ;
il pensait que ce ne serait qu’un tremplin. toutefois, à clayesmore il a trouvé une
stabilité. son objectif de chambouler l’monde pour de valeurs plus justes n’a pas changé, mais au lieu de s’foutre sur l’devant de la scène et s’éparpiller partout, il préfère atteindre un cercle atteignable, son cercle à lui – bien qu’en tant que
panayiotis saint-james sa visibilité reste nationale. rentrée 2020, et c’est sa
dixième année à clayesmore en tant que professeur de physique. impossible de nier son intégration, parfois un peu trop poussée, parfois un peu trop intense,
parfois vraiment à la limite de son statut de professeur et des règles de l’académie.
référent falcone, touche-à-tout et
monsieur-je-sais-tout,
curiosité presque borderline,
il s’mêle très clairement de la vie des étudiants et étudiantes, que ce soit de loin ou de près.
pan fait partie de plusieurs clubs, participe à des événements et soirées estudiantines. à s’demander où il trouve l’temps et l’énergie de faire tout cela. tout en
se faisant taper sur les doigts par son ami professeur de philosophie, parce que si
les rumeurs ne restent que des rumeurs,
personne ne sait si elles sont vraies ou fausses, et qu’il n’est pas effrayé par celles-ci jouant la carte de la malice intelligente, au dépit de la réelle discrétion, il est clair qu’il joue un peu trop avec les limites. mais
clayesmore est son royaume, s’il n’en est pas l’roi, il est au moins l’ombre qui gouverne. professeur parmi les étudiants, entre violente froideur et bienveillance à l’état brute, et qui
crée le chaos dans le corps enseignant, avec un peu trop de plaisir.
「 lyrae 」 parmi les règles qu’il aime briser,
les règles avec lesquelles il aime jouer, professeur saint-james s’offre un
plaisir vicieux à séduire les étudiants et étudiantes. un sourire subtil mais charmeur, un clin d’œil qui se voit à peine, l’regard parlant et parleur qui s’arrête une seconde de trop, les mots choisis avec un soin précis, la position discrète mais aguicheuse, et surtout
l’aura mystérieuse et charismatique. pas étonnant que le mot
daddy résonne lorsque l’on parle de lui. une réputation diversifiée complexe
qui s’est construite malgré lui, mais à laquelle il a évidemment activement indirectement participé. l’appellation de
daddy l’succède dans chacun de ses pas, comme une douce caresse, mais il est
dur de savoir si professeur saint-james a fait l’pas de trop avec un ou une – ou même plusieurs, en réalité – avec élève. il est bien rare que panayiotis se freine dans ses désirs. il ne résiste ou ne cède pas à la tentation,
il est la tentation. s’il n’aime pas les phrases à deux balles toutes faites, s’il ne pense pas qu’il y a une exception à toute règle, il doit bien admettre que dans ce cas c’est la vérité.
‘y a ce jeune homme qui teste ses limites, qui l’pousse à bout.
il est le golden boy parfait qu’il déteste tant, pourtant il
n’a jamais ressenti un tel désir pour quelqu’un.
son envie pour lui est absolument viscérale. à peine son regard l’croise au détour d’un couloir, qu’il ne voit plus que lui, qu’il sue presque de cette attraction sexuelle qui le magnétise à lui. et
ce petit con est la pire tease qu’il ait connue. il gigote son petit cul, et tout ce que pan a envie de faire c’est
lui donner la fessée et planter ses crocs dans son cou jusqu’à lui soutirer un gémissement de douleur et quelques gouttes de sang
– parce que, bordel, il lui appartient. pan résiste, pan fuit, pan joue ; mais pour la première fois,
lorsqu’il joue c’est lui qui se retrouve à se brûler. tension sexuelle carrément palpable, si seulement il y avait que ça. derrière ce baby insupportable qui est en demande attention, il sent une véritable envie d’être aimée, une envie jusqu’ici ignorée. alors
pan l’chamboule, appuie où ça fait mal. ça ne plait pas,
mais s’il est sa torture sexuelle, panayiotis sera sa torture psychologique. il est aimanté à cette tornade magnétique.
lyrae le rend fou, dans ce désir qui aurait dû être un simple mépris.
RANDOM FACTS
「 petit génie 」 qi mesuré à 162, soit deux points de plus que même sir einstein, panayiotis a été diagnostiqué surdoué alors qu’il était encore très jeune. enfant, ce génie lui a causé quelques soucis d’intégration. mais rapidement, il a su en tirer le meilleur partie et ça ne lui a plus posé de problèmes socialement. il a utilisé cette intelligence, s’en est servie comme une arme, pour arriver à ses fins et faire entendre sa voix dans ses combats.
「 militantisme 」 on le catalogue souvent de rebelle. quoique ce ne soit pas totalement faux, ce n’est pas réellement juste non plus. probablement rebelle par rapport à ce monde éclatant de privilèges aux paillettes dorées, panayiotis est avant tout un militant. il s’bat pour une société plus juste, à laquelle il croit, quitte à exploser le système en place. il se bat pour les communautés discriminées. s’il est blanc et riche, il fait partie de la communauté lgbt, et croit qu’il peut être un allié de poids. mais s’il peut faire polémique parce qu’il apparaît parfois comme un white savior. si depuis une décennie il travaille et vit principalement à clayesmore, il n’hésite pas à aller s’battre sur place, majoritairement à washington dc mais dans d’autres grandes villes également. il est par ailleurs très présent sur les réseaux sociaux.
「 amoral 」 un trait intégrant et primordial de son identité est qu’il est amoral. peut-être est-ce lié à son génie, peut-être est-ce lié à son militantisme, peut-être est-ce tout simplement lui. il remet tout en cause, a du mal à voir ou comprendre la limite entre le bien et le mal – et quand on lui pointe du doigt, il n’a pas assez d’empathie pour en avoir quelque chose à foutre. c’est ce qui le rend intéressant, il n’vit que pour l’intellectuel. c’est ce qui le rend aussi à ce point désagréable. parce qu’étant amoral, c’est lui qui s’fait ses propres règles.
「 collection de vices 」 s’il s’bat pour ce qu’il pense être de bonnes valeurs, s’il peut s’avérer être bienveillant – à sa manière un peu brutale –, il faut comprendre que pan n’est pas une bonne personne. il collectionne les vices, presque tous, et ne s’en cache pas réellement. loin d’être accro au tabac, pourtant il fume quotidiennement. il boit aussi, probablement plus qu’il fume. il ne fuit jamais une bagarre, jouit inconsciemment d’une certaine violence. il a touché à quasiment toutes les drogues possibles, et ne parlons même pas de sa relation au sexe. panayiotis n’a pas de limite, ou alors très peu. son ami l’prof de philo lui dit souvent qu’il a un comportement d’addict, et c’est très vrai. mais addict à quoi ? parce qu’il ne l’est à aucun de ces vices. il est addict, il n’a pas encore trouvé à quoi.
「 thanatophobie 」 un fait qu’il ne clame pas sur tous les toits, il faut néanmoins savoir que panayiotis a une peur énorme de la mort. l’esprit scientifique d’un génie, il croit en un monde pragmatique et cherche à expliquer absolument tout. toutefois, la mort est la seule chose qu’il ne pourra jamais expliquer ni connaître – avant que ça arrive. et mégalomane comme il est, la pensée qu’il est comme tout autre humain, qu’il est mortel, lui est insupportable. ça en résulte souvent à une fuite disproportionnée de celle-ci, ou alors une provocation particulièrement dangereuse pour lui.
「 chocolat 」 pas spécialement gourmand, il aime néanmoins la bonne nourriture comme toute personne qui se respecte, mais il a un péché mignon incontrôlable pour le chocolat. il en mange constamment, que ce soit noir, lait ou blanc, il a presque toujours une tablette sur lui. si seulement ça s’arrêtait à ce stade, cependant tout ce qui est à base de chocolat lui est irrésistible. en cours, il est l’genre de prof à arriver avec sa tasse, qui n’est pas du café mais du chocolat chaud.
「 piano 」un intellectuel avant tout scientifique, c’est-à-dire pragmatique à la quête de la vérité, il doit avouer que s’il est intéressé et fasciné par le domaine des arts, il n’est pas nécessairement très doué. néanmoins, en bon cliché aristocratique, ses parents l’ont poussé à jouer un instrument de musique quand il était encore tout jeune, même pas encore rentré à l’école. du piano, parce qu’il ne voulait pas un instrument trop pédant, et qu’il aime tout simplement sa mélodie. à force d’années de pratique, et son identité unique, il est devenu très bon avec sa mélodie bien à lui.
「 les animaux 」 c’est un fait que panayiotis n’a aucun tact avec les autres êtres humains – un comble pour une famille de politiciens plutôt aimée par le peuple –, et il n’cherche pas non plus à avoir du tact pour protéger les sentiments fragiles des autres. il a cependant un don avec les animaux. on lui découvre une sensibilité qu’on ne lui soupçonnerait pas, mais il adore les animaux, absolument tous sans distinction. et les animaux l’aiment en retour. ils viennent naturellement vers lui, sans qu’il ait besoin de faire quelque chose en particulier, même les agressifs. il a d’ailleurs adopté pas mal d’animaux blessés et adoptés, qui vivent avec lui dans sa maison à glendale.