Si Clayesmore Prep se veut être un forum participatif, il n'a nullement vocation à devenir communautaire. Merci donc de bien vouloir éviter l'abus de privates jokes dans les sections ouvertes à l'ensemble du forum. Enfin, le forum se veut être une seconde maison où chacun puisse être libre de venir rp à son rythme, qu'il soit simple membre ou fasse partie staff. Prénom Nom Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Integer ut pulvinar arcu, quis sodales orci. Prénom Nom Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Integer ut pulvinar arcu, quis sodales orci. |
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| the boy who fed on nightmares Jeu 6 Aoû - 14:39 Edward Shelley Edward Shelley Either way, we're not alone I'll find a new place to be from A haunted house with a picket fence To float around and ghost my friends the act of naming something is an attempt to give it purpose. when someone wants you to be anything but what you are, the easiest way to start is with a nickname. surnom — Opération nocturne invoquant plus que le tranchant du scalpel, il fut forcé de ployer sous l’indifférence de l’oubli. Gamin sacrifié aux astres, ils lui arrachèrent les ailes pour que le ciel se fasse étranger. La chirurgie fut indolore, les cicatrices évanescentes. Pourtant, différent autrefois, ils imposèrent à son front le sacre d’une couronne ne lui séant pas. Devenu Edward. Devenu autre, le gamin oublie parfois qu’il était un avant. Oublie que toute épopée est précédée par le crime d’une mémoire oubliée. Que son odyssée est tachée par le sang d’un enfant n’étant plus. Edward. Juste Edward. L’adolescent abhorre l’incarnat tachant leurs lippes quand ils se perdent en Ed, Ted, Ned. Il méprise l’aisance de ces familiarités dépourvue d’intimité. Méprise l’écho en leurs bouches de cet autre qu’il n’est pas, qu’il tente si ardemment de devenir. âge, lieu de naissance — Edward, il est né sans un cri, sans un bruit. Gamin arraché aux entrailles fétides d’une mère océan, il n’y avait que le néant pour comprendre le fardeau de pareille engeance. Enfant silence, enfant violence, il ne connut longuement que l’écho des balles, la tiédeur du béton de leur appart délabré jusqu’au croisement. Vingt mètres de liberté pour la progéniture d’un Bronx apoplectique. Dix huit années de cavales passées à justifier le crime céleste commis envers la chair, le décès prématuré de l’adolescente l’ayant enfanté. nationalité — Enfant de partout, destiné à nulle part, il traina sa carcasse à même la moitié du globe pour se rendre compte qu’on échappe jamais véritablement à d’où l’on vient. Qu’on ne peut jamais vraiment savoir où l’on va. Le coeur noirci de cette naissance nouvelle, ses mères le firent apatride quand elles oignirent son front du sacre de leur amour. Heimatlos sans ailes, albatros sans ciel, il ne se souvient que des lettres absconses de ces pays d’où l’on ne revient pas. Ces endroits qu'il ne connaitra jamais. Exilé condamné à la fougue du 4 juillet, les feux d’artifice voilés par l’écho de la mitraille, l’ american dream rouille en ses veines pour lui qui ne connut que ça. situation familiale — Rejeton voguant au désespoir, Edward fut adopté sur le tard, recueilli par deux femmes au coeur volcan qu’il peinera à un jour appeler mamans. Pourtant, au gré du silence, de ces errances mutiques au fracas de la violence, elles domptèrent l’animal blessé, révérèrent l’enfant jusqu’à l’arracher à l’éther de leurs songes. Le cliché est délicat, la courbe de leurs sourires tranchants, portrait familial blessant d’une perfection inégalée. Elles l’aiment tant et plus que lui ne sait comment égaler son propre reflet. Apocope ensanglantée d’un coeur mutilé, il perdit son nom au détour d’une histoire avortée. Perdit son passé, à l’étroit en ces vêtements trop étriqués. En ce visage plus tout à fait sien, ce sourire trop serein pour le clébard rêvant la lune depuis la fange d’un foyer égaré. situation financière — Le derme couvert de satin, les lignes anguleuses du corps garnie de feuilles d’or, les joyaux de sa famille ceignent son front de leur fardeau silencieux. Fils de quelqu’un, enfant de personne, les aurures maculent sa carne comme trop de sang versé. Enfant d’une dynastie exhalant ses derniers souhaits, les Shelley sont fils et filles de Midas. Apôtres condamnés à contempler tout ce qu’ils convoitent périr au gré de leurs doigts, il est une solitude immémorielle attachée à la jouissance de leurs biens. Engeance révérée d’une fille bénie par l’astre solaire et d’une enfant de la lune, leur union sembla attendrir les astres. Faire trembler la terre, l’empire financier majestueux de sa seconde mère s’unissant aux richesses égrotantes des Shelley. orientation sexuelle — Épicurien épris de la fièvre du corps, l’homme enfant s’agrippe à tout derme à sa portée. Prisonnier des troubles de la chair, il ondule et ploie sous les doigts incandescents des êtres assez inconscients pour vouloir contempler la courbe de ses lignes. Impudemment réputé comme hétérosexuel par ses compères, Edward est trop prompt à se rompre l’échine contre les corps irisés de compagnons d’un soir. Pansexuel mal assumé, il sait la vérité de ses pulsions indécente pour cette image qu’il police en permanence. côté coeur — Amours évanescentes placées sous le sacre des tragédies, les prunelles contemplent le fruit interdit tandis que l’organe palpite, troublé. Edward convoite le tonnerre entre ses lippes, les effluves pestilentiels de son ire tandis qu’elle hurle au silence d’une marée transcendée par l’appel des astres. L’erreur est sereine, calculée, accident de parcours pour celui au destin tout tracé. Pourtant, naufragé à la dérive, il rêve de se noyer au détour de ses récifs. Rêve de s’éclater les os à même le tranchant de ses falaises. Et ne cherche que son confort, la prison de ses bras, la douceur de ses mots quand il a tord et ces instants délictueux partagés à l’aune des corps célestes. Ne rêve que de fragment d’irréelle félicité à tenir entre ses doigts quelque chose de véritable, sincère. À contempler un coeur qu’il finira par briser, clébard incapable de ne pas mordre ceux cherchant à retirer ses chaines. i never made a mark on my own body - instead i stood proud and let someone else do the breaking. maison, année d'étude — Hoirs de la maison Swynford, cinquième année en spécialisation littéraire, comme une évidence malgré les rêves de Cromwell de ses mères. occupation — Préfet de sa maison rechignant à la tâche, Edward sait l’intérêt de ses activités extrascolaires pour la pertinence de son CV. Trop complaisant, méprisant, il assure péniblement son rôle, de trop nombreux écarts de conduite ignorés par ce dernier pour cause d’ennui. Néophyte du néant, il n’aspire qu’aux espaces de non-vie en lesquels il se noie au travers de ses lectures, de ses erreurs volontaires, ses accidents de parcours. Il arrive néanmoins à conserver sa place dans le club de natation malgré une piètre assiduité et un manque cruel de diligence. Mutique animal, il brûle pourtant au détour de débats enflammés, incendiant ses opposants au tranchant de sa langue vipérine avec un soin ergotant. Épicurien, esthète, prophète, il erre souvent sous les affres de l’opalescente, cavalier sans tête à la recherche d’une immatérielle justification pour tout ça. Tout ce bordel que représente l’existence, l’irréel intangible quête de sens afin légitimer exister. De défonces en rencontre fantasmagoriques, il est le premier à se jeter dans la foule au gré d’un pogo improvisé, à s’éclater le buste à enlacer un haut-parleur crachant les cris infinis d’inconnus émaciés. Créature nocturne, fils de la nuit, il ne conserve de ses escapades que les clichés instantanés et troubles des fragments de lui. Quelques mots couchés sur du papier, l’ encre suintant de la plaie avec doléance quand il peine à se conjuguer. choix de carrière — Maman et Maman rêveraient de le faire doux héritier d’une couronne d’épines. Quelque chose comme président, sénateur ou encore juge de la Cour suprême. Quelque chose de délicat sur le papier, un rôle outrageux d’honorabilité. Puis y a lui, lui qui crève à l’idée de la corde nouée à sa trachée. Lui qui voudrait être personne, qui ne sait même pas qui il est. Lui qui aimerait parcourir le pays à l’arrière d’un bus de musicien pour raconter leurs aventures. Puis, pourquoi pas écrire. Juste un peu. Et, un peu, essayer d’être heureux. Peut-être comme critique musical, comme écrivain prétentieux ne sortant des livres qu’une fois par décennie. Comme photographe raté noyé dans le marc de ses idées noires. Tout, puis n’importe quoi d’autre que ce qu’on attend de lui. Pourtant, il fait ce qu’on lui demande, courbe l’échine et sourit quand on le nomme futur président d’une nation qu’il peine à tolérer. à clayesmore depuis ? — Sa deuxième année, égaré arrivé un soir en milieu de parcours. Pas tout à fait serein, pas tout à fait quelqu’un et pourtant déjà les prunelles creusaient les sillons de leur curiosité à même son échine. They smelled blood in the water;réputation — Aimé de tous, connu par personne, Edward est de ces chimériques créatures que les inconscients chassent jusqu’aux nues. Populaire, arrogant, ils révèrent l’étoffe couvrant soigneusement sa carapace, le vide en ses prunelles désintéressées quand il peine à délacer ses lèvres. Ils le trouvent amusant, inquiétant, peu prolixe et pourtant si charismatique. Ils s’étonnent de ses accès colériques ou du tranchant de ses actes vertueux. Ils le rêvent plus qu’ils ne le connaissent soigneusement placé sur ce piédestal dont il ne peut que choir. L’encensent pour le charme de son savoir, la fièvre de sa verve et l’opulence de son atour sans jamais s’inquiéter du néant soigneusement placé là. Juste là, entre les boutons de sa chemise, là où la carne s’efface au profit de ses côtes. Y a personne pour regarder là. Ça, ça ne les intéresse pas. Pas comme son patronyme, pas comme son argent et tout ce qu’il peut faire pour eux. signe distinctif — Le regard décharné de ces nuits sans sommeil, le silence plein ces lippes fendues par le poids de tout ce qu’il a à dire, à gueuler vers le ciel. Pourtant, la tenue toujours parfaitement repassée, soigneusement épaulée, il semblerait presque parfait sous toutes les coutures. Juste une petite cicatrice à la pommette, souvenir égaré d’une bagarre entre frères, d’une misère abandonnée au profit de cet univers-là. avis sur corvus — Le palpitant éclater sous une pression de tous les instants, le corps un secret qu’il peine à arracher à l’éther pour se mouvoir en direction de nulle part, Edward ne sait que protéger. Ne sait quel trou d’obus combler en premier, les sillons labourant sa chair vains fassent à la crue. Face à l’averse et la peur le faisant clébard malfamé, cogneur inconsidéré. Il a trop de choses à cacher le Shelley, trop de corps soigneusement camouflé sous le lit que pour ne pas redouter le jour où quelqu’un finira par les exhumer. keywords: dirt bike; crumpled lucky strike; live music; bed hair; old records; smith corona typewriter; poetry readings; black mustang 64; neon nights; punch drunk, dumb struck, pot luck happy, happy; in bed for three days or for five seconds; dark woods; dark thoughts; Wordsworth, Keats, Shelley, Kerouac, Wilde, Shakespeare, Siken, Faulkner, Gill, Kaur; signet ring; the smell of old books; punk venues; haunted houses; pills all over the bathroom floor; silence; insomnia; too much coffee; Odysseus; polaroids; oblivion; abandoned self; night blue ink; bloodied knuckles; Montblanc fountain pen; lifeless smirk; handwork; raves; perfect marks; beautiful lies; white lies; korean fairy tales book on the bed; empty words; unholy communion; disappearances; aimless night drives; Le passé vécut comme un échec, une balafre, le corps un aléa mutilé par tous ces coins en lesquels on le traina, Edward ne sait jamais trop bien partout où il a erré. L’histoire est parfaite, répétée tant de fois qu’elle a fini par en prendre des aspects d’irréels. Tant et si bien qu’elle finit par ne plus même être un reflet de la réalité. Gamin sans parents, le coeur au magma, elles l’ont récupéré à l’aube de son existence quand le monde l’abandonna. Elles l’arrachèrent au Phlégéton quand tous avaient baissé les bras. La violence passée sous silence, les fugues incessantes ignorées, les larmes de la mama qui n’arrêtaient pas de couler. Le spectre de son aîné égaré au détour de ces mensonges trop soigneusement prononcé. Jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien de la réalité. Ni père ni mère. Pas de frère. Pas de géhenne pour celui arraché aux entrailles d’une Amérique conspuée. Juste lui, toujours lui, seulement lui qui n’arrêtait pas de saigner sur le carrelage. Lui avec les poings plus que rage, lui en nage le cadre brisé à l’envers du poing, les regards mutilés de cette incompréhension tragique. Lui tant de fois abandonné qu’il n’attendait que ça. Qui n’attendait que de retourner à la mer, à l’océan, puis au gré des orages se noyer sereinement. Trop de ratures dans les marges, trop d’erreurs au gré des pages. Auteur de sa propre odyssée, le Shelley fit de son être son plus précieux secret. De ses origines fantasmagoriques au silence sur sa jeunesse, tous le pensent créature chimérique, mystérieux aventurier voué à s’évaporer. Puis personne ne s’intéresse à ce qui ce passe entre les lignes, tous ce qu’on ne dit pas. Peut-être que c’est mieux comme ça. 「 anecdote 」 Miroir brisé ne renvoyant plus que le reflet évanescent du spectre d’un autrefois, Edward est une créature mystique, plus que réelle. Souvent incompris, révérés pour cette aura étouffante qu’il dégage, rares sont ceux à concevoir les rouages complexes du fil de ses pensées. Trop souvent considéré comme une opportunité, un tremplin menant tout droit à ses parents, il a la peau diaphane, criblée de balles que personne ne voit. Déité fragile louée pour la chaleur de ses lueurs, ils ne connaissent que le gamin à l’étroit dans ses costumes sur mesure fraichement pressés. Ils ne voient pas le presque homme les mains recouvertes de cambouis à entretenir le moteur de sa mustang usée, ils ignorent le fantôme roulant vite trop vite au gré des astres sur sa bécane déclassée. Puis, quand il disparaît sans un bruit, ils ne s’étonnent de son absence. Ne s’enquierent du vide laissé dans son sillage jusqu’à ce que, recraché par l’océan, il ne tombe hors de la voiture de sa mère, le col froissé, la chemise mal boutonnée. Comme arraché à un rêve dont il ne s’est toujours pas réveillé. Comme s’il n’était pas tout à fait celui qu’on croyait. 「 anecdote 」 Prisonnier des fantasmagories, rêveur éperdu incapable de se priver des contrées oniriques de ses songes, il se noie au gré des lignes de ces manuscrits dans lesquels il se plonge. Démontrant une soif de savoir avide depuis sa plus tendre jeunesse. Comme pour combler le vide en dedans, être autre l’espace d’un instant. Esthète épris de l’art sous toutes ses formes, il se laisse mouvoir par ce qu’il ne peut égaler, toutes ces choses qu’il peine à contempler. La chair en éclats, les mots trop prompts à lui manquer, il n’est qu’au détour de pages maculé de ses pensées qu’il semble savoir que dire. Il n’est qu’au gré du silence qu’il trouve les mots justes pour se conjuguer et puis se taire. Se rompre pour entrer en ce costume trop étroit. Dangereusement intelligent, aliéné par cette soif débilitante de savoir, il peine à trouver une âme lui étant similaire. Du club de débat, en heures terrées en sa chambre perdu en ses livres, aux entrainements de natation, Edward est plus un concept qu’il n’est un être de chair et de sang. Jamais tout à fait là, perdu au gré des errances de sa pensée, il se consume, s’étiole sans un bruit. Et rares sont les personnes capables d’amoindrir son ennui. 「 anecdote 」 Fatale difficulté de l’être, facilité empoisonnée du paraître, le garçon se sait inadéquat. Coquille décharnée soigneusement vêtue de secrets, gamin égrotant face au poids du monde, il assume sa couronne rutilante avec doléance muette. Quand bien même il en méprise le sens, quand bien même il peine à en feindre l’intérêt, Edward assure son rôle perdu d’avance, prisonnier de l’urgence. Exhibant le simulacre de ses joies, assurant le spectacle de ses peines, cela fait longtemps qu’il ne sait qu’éprouver. Longtemps qu’il a oublié la saveur évanescente des baisers du printemps, rongé par le givre courant ses sentiments. Désintéressé, nonchalant, les landes désertiques de ce qu’il devrait éprouver le séparent du monde. Aliéné serein, il offre à ses opposés l’image hantée de ce qu’ils souhaitent voir, le pantin se mouvant au gré de leurs souhaits quand personne ne se soucie de ses sentiments. La tiédeur des prunelles du Shelley peine à trahir le trouble pernicieusement invité en sa carne. Peine à convoyer la glace de son ire, le feu de sa peine. Mal adapté, feignant à regret une normalité ne lui séant pas, se cache un univers abscons à l’envers de ses prunelles. Un lieu hanté où rien ne fait véritablement sens alors il se contente de continuer à faire semblant. pseudonyme — fatal flaw, shewolf, whatevs. ton avis sur le forum — je me répète, mais chapeau à la team, à la fonda. je suis le fo de loin depuis quasi le début et ça me remplie de joie de le voir ouvert. je n'ai qu'amour, respect et émerveillement pour cet endroit. fréquence de connexion — 4/7 j'ai des horaires assez tordus au boulot et je dois pas mal m'adapter, mais en général je passe tous les jours voir ce qui ce passe. avatar — younes kahlaoui
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| the boy who fed on nightmares Jeu 6 Aoû - 14:39 Edward Shelley everyone wants us to spill poetically, in a way that goes down easy - they want us to speak of maps by referring to their borders and not by what's inside of them. i dreamt you still named. i dreamt you naked. i dreamt you leaking from time's advances. Le liquide roule et s’écoule hors de la plaie, son tracé sinueux abandonnant le spectre de sa fureur sur son passage. Une marée d’incarnat venu souiller le derme assombrit par l’horreur de ces émotions lui en délavant l’envers du buste. Le regard de glace, les prunelles pourtant incandescentes, il contemplait les deux femmes lui faisant face. Contemplait les Euménides, incapable d’assouvir leur soif. Il avait beau saigner à même le parquet le monde refusait d’interrompre son cours. La télévision grondait fébrilement les dernières nouvelles miséreuses de ces gens implorant les astres pour leur aide tandis que les torrents meurtris de sa peine crevaient les yeux de Tashi. Au pied de l’enfant reposaient les fragments de sa fureur sourde. Les peintures arrachées aux murs, bibelots maudits tronant sur tout meuble, puis ce portrait. Les deux femmes le soleil dans le sourire et lui qui cherchait de l’autre côté de l’objectif les germes de sa liberté. “ Get out.” Posant ses prunelles sur Beatrice, l’écho de sa colère éclaboussant les traits de la jeune femme, le gamin resta immobile face à l’adulte. Tempétueux, le tonnerre prêt à gronder hors de ses lippes, il n’eut pas le temps de déverser les flots de sa rage qu’elle criait avec plus de violence encore. “ GET OUT!” Le bouquin vint s’écraser aux pieds de l’enfant tandis que Tashi laissait lui échapper un hoquet d’horreur face à la fureur de sa moitié. Il n’éprouvait rien le gamin. Il n’avait même pas mal. Reculant d’un pas, il contemplait le charnier de ses erreurs, champ de ruines où il avait semé chrysanthèmes et lilas. Contemplait celles qui se voulaient mères, le corps rompu comme un point d’interrogation, enlacé en leur peine partagée. Il n’avait même pas mal. Même pas un tout petit peu. Il ne sentait rien le gamin. Rien que le néant entre ses côtes et le besoin de saigner, le besoin de s’user les phalanges contre le monde pour un jour ne pas se relever. Pour un jour finir au bagne comme son père, spolié de son futur comme son frère. Le dos pressé contre le bois de la porte, il entendait le bruit de verre ébranlé. L’exhalation saccagée de Tashi attrapant le cliché. “ I don’t know what to do with him... he’s just... he’s just so mad.” “ I know, love. I know.” “ Don’t be so harsh with him, Bea. Please. It’s not his fault.” i was willing to take all the blame, just to be part of someone else's story. Les doigts refermés sur la couverture du manuscrit, l’enfant se rêvait ailleurs. Le coeur volcan, le regard océan, quelque chose de plus que cette chair, ces os. Cette ossature si friable, trop prompte à se briser, charnier d’espoirs déçu, de vies oubliées. Son costume était trop étroit, tranchant. L’encre de sa tenue se déversait à ses pieds au gré d’un silence venu aspirer l’oxygène hors de la pièce. Astronaute perdu au gré d’astres inconnus, il avait oublié le chemin le ramenant à sa maison. Souffrant l’ébène de ces espaces délités, il ne savait plus s’il nageait dans la vie où s’il se noyait. Ne connaissait pas la différence. “ Edward, are you ready?” Posant ses prunelles sur Bea. Sur sa mère. Le gamin resserra sa main sur le livre. Recueil de légendes et contes ensanglantés. Un livre trop violent aux yeux de Tashi et pourtant une douce obole de Beatrice. Hochant lentement la tête, l’enfant n’avait que trop peu de mots à offrir. N’avait que des chrysanthèmes à chérir au plus profond de sa trâchée, un champ aux nivéales fleurs l’empêchant de parler. Il n’avait pas frissonné, pas même été ébranlé par la violence du coup, l’horreur des mots prononcés. Doucement, sans s’en rendre compte, il s’était habitué à la morsure. Aux syllabes étrangères plus que blessures, apocope de l’être l’ayant spolié de ses origines. Edward. Un mensonge fait réalité à force d’être prononcé. Prophétie autoréalisatrice destinée à le sauver. Sa main venue enlacer celle de sa mère, il la suivit hors de son bureau jusqu’au salon où une marée de page menaçait de l’avaler. Toujours agrippé à Beatrice, il alla se loger dans la forteresse des bras de son autre mère, cherchant dans le confort de sa présence la force d’exhaler un souffle fébrile. Venue lisser le col de sa chemise, redressant sa cravate, Tashi lui offrit le plus délicat des sourires. Les germes d’un printemps capable de tout adoucir. Puis, ses mains reposant de part et d’autre de son visage encore replet, elle posa son front contre celui de l’enfant. “ My beautiful, beautiful boy.” Avec la force de l’habitude, des heures passés à les contempler, passés à observer son propre reflet, Edward assurait sa plus grande performance. Les lippes étirées plus que plaie sanglante, ses babines retroussées offraient à voir au monde ses canines tranchantes. Pourtant, animal apprivoisé, il n’était que douceur dans la courbe de son mensonge. Son plus lourd secret soigneusement camouflé à l’envers de la carne, l’être défait à toutes les coutures quand on savait observer le vernis écaillé. “ You’re ready?” Les mots de Tashi faisaient écho à ceux de sa femme, le soin avec lequel elles manipulaient l’enfant presque douloureux. Soudain, le regard virant à l’orage, sa mère frôla son sourcil avec délicatesse. “ What happened?” Le corps à peine plus que plaie prête à fleurir, sa douleur était intangible, son silence écrasant. “ The kids at school bullied him.” Le mouvement était infime, échange de regards soudain capable de dire plus que les mots ne pouvaient admettre. Hochant doucement la tête, Tashi vint embrasser la plaie avant de se remettre à sourire. “ We’ll deal with that later. Let’s sign those papers and be a family.” Statuette d’argile animée par la force de leur amour, Edward accueillait les coups de burin avec diligence, la carne marmoréenne désireuse d’être plus qu’errance peu importait le prix. i've been running around in circles pretending to be myself why would somebody do this on purpose when they could do something else? Le sac chuta à côté du banc scolaire, la carcasse sombrant à son tour tandis que le corps meurtri exhalait sobrement. Encore agrippés à ses prunelles, pendues hors du temps, les astres scintillaient d’un éclat fané. De ces heures sombres passées à s’oublier, Edward conservait la langueur mortuaire. Le derme douloureusement perméable, il voyait grouiller à l’envers de sa carne le flegme putride de ces heures tuant les lueurs de l’esprit. Ces heures contemplant la triste mort des éclats de lucidité, le génie inhumé au profit d’inanités placides que tous pouvaient digérer. La rigidité de l’enseignement voyant crever gueule ouverte l’immatérielle clarté de la pensée désinhibée. Les prunelles imbibées de ce dégout qu’il rêvait parfois de dégueuler à même le plancher, il peinait à arracher ses songes à la brume de ses nuits sans sommeille. Le corps vécu comme une arrière-pensée, toujours un temps de retard sur ce qui l’entourait, il ne s’ébranla pas alors que les mains s’arrêtaient à la base de sa mâchoire. S’éteignant à même les lippes de cette moitié si mal choisie, il aurait aimé pouvoir ne pas se relever une fois victime du brasier. Il n’en était rien. Forcé de contempler son sourire, l’arrogance de ces babines retroussées en une grimace défiant le monde, lui aussi était spectateur désemparé de l’instant. “ You know I don’t like when you don’t answer my text, Ed.” Révulsé par le sobriquet sordide venu s’échouer hors de ses lippes, le garçon ne pouvait réprimer le grondement ennuyé quittant ses lippes fendues. Se défaisant de la prise de sa petite-amie, il repoussa cette main possessive agrippée à son échine, les serres de la harpie prêtent à lui lacérer la trachée à la moindre frustration. “ I was busy.” Visiblement irrité par la nonchalance du brun, le Shelley trop peu réceptif à la mise en scène parfaitement chorégraphiée de leurs échanges défaits de sens. Las de lutter dans une guerre sans vainqueur, il salua un membre de l’équipe de natation avant que, comme à son habitude, elle ne reprenne toute la place. Pressant ses lippes plus férocement aux lèvres de son compagnon, prédatrice venue à festoyer à même les fragments épars de sa chair, il était seul à l’entendre gronder. “ Don’t you dare to make me wait for an answer again.” Soldat de plomb assurant son rôle sans coeur, sans aucune passion, Edward se pliait à ce qui était attendu de lui. De sourires fanés, en propos sans saveurs, il ne déviait jamais de cette conduite qu’il s’était imposée à lui à son arrivée à Clayesmore. Le rôle qui lui avait été attribué de bruits de couloirs en fréquentations soigneusement trouvées. Le Shelley n’avait qu’une raison d’être au côté de l’adolescente et elle ne manquait de lui rappeler. Leurs sentiments artificiels rappelant douloureusement au nocturne animal qu’il n’était que de cette façon-là qu’il pouvait appartenir à cet univers ne lui séant pas. " See you later, love you." desire,
like a monster, crawls up out of the lake
with all of us watching, La scénographie était sempiternelle. Le corps arraché à l’éther, songe fait homme, Edward était immobile au coeur de la marée. Transcendé, statue marmoréenne que rien ne pouvait faire fléchir, il l’écoutait sans l’entendre. Baptême nocturne offrant une nouvelle naissance au gré des notes, elle hurlait sans voix et lui écoutait sans oreilles. Le langage irréel souffrant la légèreté de l’être imposant une connivence mortuaire à ses enfants. Les lueurs mordorées du temps passé s’étaient évanouies bien avant son arrivée dans le bar délabré. Bien avant que les effluves méphitiques de bière bon marché et de sueur ne viennent enlacer sa carne. Avant qu’un ciel aux tons lilas ne vienne à fleurir le long de ses côtes. Cramant sa clope à user ses chaussures à même le bitume, le clébard se consumait au gré des rires gras des habitués. Au gré des regards posés à même son atour délité, phare outrageux d’une opulence qu’il ne pouvait nier. D’un faste forcé à son échine, oubliant jusqu’à ses origines. Perdu au gré de ses pensées trop envahissantes, forcé en une reddition sempiternelle face aux flots du Cocyte, il manqua presque sa sortie. Manqua les éclats indécents de sa tenue, sa perruque colorée, son maquillage effronté. Sortant son paquet de lucky strike, il porta une clope à ses lèvres avant de lui tendre le paquet. Sans un mot, prisonnier des limbes de ses désirs, il enroula délicatement ses doigts autour de son poignet trainant la jeune femme jusqu’à sa voiture. “ Get in.” Souffla-t-il précautionneux de cette voix dont il usait si peu, la main posée sur la portière qu’il venait d’ouvrir alors qu’elle s’installait sur le siège passager. Les minutes s’étirèrent hors de leur portée tandis que Shira contemplait les lueurs évanescentes dégoulinant à même la vitre contre laquelle sa tête était posée et que lui la regardait elle. La radio crachait les notes éthérées d’un artiste décédé bien avant leur naissance, emplissant l’habitacle de ces spectres dont ils ne pourraient jamais tout à fait se défaire. Les kilomètres défilaient sans qu’ils ne se soucient de leur destination, la lune compagne nocturne s’assurant qu’ils ne chutent hors de portée de l’univers. “ I hate this town.” Murmura-t-il les yeux rivés sur la route obscure s’étendant devant eux, coupant le silence au scalpel de ses mots par-dessus Buckley croonant au sujet d’amours perdus, arrachant à sa guitare ces larmes qui jamais ne couleraient. “ Why?” Se tournant vers le conducteur, observant le contour de son ombre, les rayons opalescents offrant des allures monochromatiques à sa silhouette, Shira ne pouvait entièrement étouffer la curiosité en sa voix. “ I hate most things.” Imperfect truth of a wish made flesh. Sa voix était détachée, la réalité sereine pour celui qui peinait à délier l’entrelacs émotionnel nouant son buste. Puis les secondes qui semblaient être des heures. L’épaisseur de ce silence leur imbibant les lèvres au point qu’ils ne sachent que dire pour se défaire de son fardeau. L’asphalte rongé par la voiture comme s’il suffisait de mettre toujours plus de kilomètres entre eux et le monde pour qu’ils puissent partager quelque chose de vrai. Frôler un instant le sacré de l’instant. Soudainement, le filet émacié de sa voix couvrant les suppliques de l’artiste, il reprenait sans jamais quitter la route du regard. “ But not you.” |
| | | the boy who fed on nightmares Jeu 6 Aoû - 14:41 Ryu Shira HERE HERE so this is totally on you and you know it déjà le titre cette citatioooon et cet aes qu'aveugle dès le début i don't deserve you, i don't deserve your words, i don't deserve teddy y'a que toi pour me donner envie de pleure juste avec le nickname i want to protect him so baaad ET SES MERES DES QUEENS OK DES QUEENS - Citation :
- En ce visage plus tout à fait sien, ce sourire trop serein pour le clébard rêvant la lune depuis la fange d’un foyer égaré.
this shit murdered me |
| | | the boy who fed on nightmares Jeu 6 Aoû - 16:28 Nocturne Fauntleroy - Code:
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opération nocturne tu m'a invoqué en fait, donc me voilà non mais jpp elle est même pas finie encore mais cette fiche on dirait une master class i want more. |
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| the boy who fed on nightmares Jeu 6 Aoû - 16:35 Neven Alvaro bienvenue chez toi |
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| the boy who fed on nightmares Jeu 6 Aoû - 16:57 Panayiotis Saint-James ta plume please ???? conquis dès les premiers mots. grv pas étonné tbh, de ce qu'on a pu lire dans la recherche de liens avec ton idée de groupe. mais ptn wsh c'est beau sa race et l'personnage que tu dessines là. si astral. but son histoire si euh mélancolique ?? jsp. bon j'attends d'en lire plus pour vrmt me prononcer. mais damn. big love. |
| | | the boy who fed on nightmares Jeu 6 Aoû - 17:48 Invité Bienvenue. |
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| the boy who fed on nightmares Jeu 6 Aoû - 19:36 Ren Belinsky |
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| the boy who fed on nightmares Jeu 6 Aoû - 23:07 Hero Mareš je suis FANces mots que t'as posé, ce personnage qui se dessine, ce moodboard (je m'en lasse pas). non mais sérieux, tu nous sors une perfection née là. je tombais déjà sous le charme avec la recherche de lien, je savais que t'allais nous sortir un personnage de folie et rien qu'en lisant cette première partie et ces premiers mots, je peux pas m'empêcher de me dire que j'avais raison (pour une fois ) mon coeur se fait tout mou face à edward, hâte de voir ta perle en jeu et de voir le bonhomme se dessiner plus ta fiche avance. |
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| the boy who fed on nightmares Ven 7 Aoû - 0:34 Nieve Flores |
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| the boy who fed on nightmares Ven 7 Aoû - 0:39 Levi Botsford bienvenue parmi nous |
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| the boy who fed on nightmares Ven 7 Aoû - 10:55 Edward Shelley je suis extra fébrile après tous vos messages, merci pour cet accueil du feu de dieu. c'est la misère, trop de douceur et d'amour. je vais aller me rouler en boule, je reviens après a short breakdown. @ryu shira you. you. just you. à chaque fois tu me fais la misère avec ta douceur, i don't know what i did in a past life to deserve you. (his moms, the real queens, exactly!!!!!!!!!!!! ) @nocturne fauntleroy ouesh, le plus beau sur ma fiche (joking, vous êtes tous les plus beaux). faut arrêter avec les compliments, vous allez me foutre dans une tombe précoce. je me dépêche pour la suite pour qu'on puisse se lancer dans nos délires mystiques @panayiotis saint-james mais on m'attaque en fait la suite arrive (à quelle vitesse? idk), j'espère ça sera à la hauteur pcq cet acceuil 10/10, would totally recommend! trop hâte de rp avec toi dans le futur. @ren belinsky tu perds des points pour avoir copié sur le professeur je vais pas pouvoir me remettre de votre gentillesse les gars, on se croirait à la maison, je bouge plus moi, je suis une moule collée à son rocher là. je sais pas quoi dire à part merci, you're the real mvp. @hero mareš hero me met en pls et j'ai trop hâte de parler plus en profondeur lien avec ce dernier pcq il vend du rêve. j'ai même plus la force de commenter votre douceur, je suis dans le mal tellement j'ai d'amour à vous donner là. @nieve flores hey youuuuu on m'avait dit que tu serais là, merci pour cet accueil! |
| | | the boy who fed on nightmares Ven 7 Aoû - 17:25 Lyrae Reyna SWYNFORD BRO YO c'bien, t'as tout compris bienvenue |
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| the boy who fed on nightmares Ven 7 Aoû - 22:02 Léonildor Rodds mdr rien qu'le titre j'étais vendu. puis le moodboard qui lui taille sa troisième dimension. pas de pression hein, mais j'attends la suite. bienvenue |
| | | the boy who fed on nightmares Sam 8 Aoû - 14:14 Priam Wright |
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| the boy who fed on nightmares Dim 9 Aoû - 11:28 Edward Shelley |
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| the boy who fed on nightmares Dim 9 Aoû - 11:40 Ash Denbrough |
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| the boy who fed on nightmares Dim 9 Aoû - 11:43 Edward Shelley |
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| the boy who fed on nightmares Dim 9 Aoû - 23:21 Ren Belinsky Félicitations, tu es désormais officiellement validé ! Et, de fait, tu rejoins la sphère très restreinte des supers membres de Clayesmore Prep. Alors, pas trop ému ? En tout cas, ta fiche elle était... - edward shelley a écrit:
- Gamin sacrifié aux astres, ils lui arrachèrent les ailes pour que le ciel se fasse étranger. La chirurgie fut indolore, les cicatrices évanescentes.
euh excuse-moi ??? c'était dans les premiers mots et j'suis déjà crevée sur le sol ??? c'est si beau. - edward shelley a écrit:
- Gamin arraché aux entrailles fétides d’une mère océan, il n’y avait que le néant pour comprendre le fardeau de pareille engeance.
anon mais dakor là tu cherches vraiment à m'achever. j'arrête de quoter des passages de ta fiche sinon cette validation va durer des heures et surtout va prendre 3 pages. l'histoire était vraiment très belle ('fin pas forcément très gaie mais si bien écrite), et j'ai adoré les mots d'edward envers shira et la façon dont tu as mis un point final à l'histoire qui ressemblait davantage à des points de suspension pour l'histoire qui va continuer de s'écrire dans les rps. par contre, s'il fait partie de plusieurs clubs, il faudrait que tu passes par ce sujet pour qu'on te recense. Alors entrons tout de suite dans le vif du sujet ! Le secretMerci de bien vouloir te manifester dans l'éventualité où le staff te validerait sans avoir validé ton secret au préalable. Pour ce faire, il te suffit d'envoyer ton secret, ainsi que les trois indices le concernant, à @Corvus. Les clubs et associationsMaintenant que tu fais partie des nôtres, nous te conseillons (si ce n'est pas déjà fait) de consulter le listing des clubs et des associations et, si tu y trouves ton bonheur, de rejoindre un club ou une association. Dans le cas où tu aurais une idée bien précise en tête, tu peux toujours fonder ton propre club. l'internatComme tu dois le savoir, si ton personnage est encore en premier cycle, il a obligation de loger à l'académie. Aussi, nous t'invitons à faire une demande dans le listing des chambres. Pour les élèves de deuxième cycle, nous te laissons le choix : loger en dehors ou dans le campus. Concernant les professeurs, c'est par ici. le rp et les liensValidé et recensé, tu peux désormais te lier aux autres membres en créant ta fiche de liens ou partir en quête d' un partenaire de rp. Et, si tu te sens l'âme d'un aventurier, les défis de corvus n'attendent que toi ! les scénariosPour favoriser l'intégration entre les membres déjà présents, tu es limité à un scénario par compte. Si cela t'intéresse, nous t'invitons à créer ton propre scénario.
Et c'est (enfin) terminé pour la paperasse administrative ! Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter le staff ( @Elione Belrose ou @Ren Belinsky). Alors en attendant de te revoir, amuse-toi bien parmi nous ! |
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| | | | the boy who fed on nightmares Lun 10 Aoû - 12:22 Ryu Shira je devais poster hier mais tmtc je suis mamie et je me suis endormie comme une idiote but idc i'm gonna say my peace and spamm your fiche ce post est intitulé: how to get murder, a lesson by @edward shelley - Citation :
- Apôtres condamnés à contempler tout ce qu’ils convoitent périr au gré de leurs doigts, il est une solitude immémorielle attachée à la jouissance de leurs biens.
did you just reinvent the french language ?? - Citation :
- À contempler un coeur qu’il finira par briser, clébard incapable de ne pas mordre ceux cherchant à retirer ses chaines.
i i only quote that one cause otherwise 'ill have to quote the whole damn thing ils sont pas prêts je suis pas prête pour eux toute la partie sur son futur i just want him to be happy - Citation :
- bed hair
- Citation :
- Lui tant de fois abandonné qu’il n’attendait que ça. Qui n’attendait que de retourner à la mer, à l’océan, puis au gré des orages se noyer sereinement. Trop de ratures dans les marges, trop d’erreurs au gré des pages.
can i cry yet - Citation :
- Exhibant le simulacre de ses joies, assurant le spectacle de ses peines, cela fait longtemps qu’il ne sait qu’éprouver. Longtemps qu’il a oublié la saveur évanescente des baisers du printemps, rongé par le givre courant ses sentiments.
i'm ok i'm totally ok just blinded by talent - Citation :
- elle hurlait sans voix et lui écoutait sans oreilles.
j'ai pas les mots, tu les as tous volés - Citation :
- . L’asphalte rongé par la voiture comme s’il suffisait de mettre toujours plus de kilomètres entre eux et le monde pour qu’ils puissent partager quelque chose de vrai. Frôler un instant le sacré de l’instant. Soudainement, le filet émacié de sa voix couvrant les suppliques de l’artiste, il reprenait sans jamais quitter la route du regard. “But not you.”
HOW IS HE SO SOFT ok i'm gonna crawl back in my hole to deal with all those eMoTiOnS |
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| the boy who fed on nightmares Lun 10 Aoû - 15:11 Edward Shelley i hate you - Spoiler:
- exactly what happened to edward when he met shira:
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