Si Clayesmore Prep se veut être un forum participatif, il n'a nullement vocation à devenir communautaire. Merci donc de bien vouloir éviter l'abus de privates jokes dans les sections ouvertes à l'ensemble du forum. Enfin, le forum se veut être une seconde maison où chacun puisse être libre de venir rp à son rythme, qu'il soit simple membre ou fasse partie staff. Prénom Nom Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Integer ut pulvinar arcu, quis sodales orci. Prénom Nom Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Integer ut pulvinar arcu, quis sodales orci. |
Aller à la page : 1, 2 | | | bullets through rotten fruit; Ven 7 Aoû - 9:51 Gilly Cotton victor iii "gilly" cotton the enormity of my desire disgusts me surnom — l'identité se décline aux deux extrémités du spectre, rouge crucifixion et vert bayou ; surgit du golgotha et plonge dans le mississippi. the faeries had it right : there's power in names. s'il n'existe d'acte plus divin que la création, que le privilège d'apposer un nom pour la première fois, Ils l'ont façonné à Leur image en lui faisant cadeau des siens. architecte du patronyme, papa le traditionnel l'appelle buddy, l'appelle junior, l'appelle Son ; maman la mondaine préfère l'adorablement pittoresque gilly―d'après "guillory", son propre nom de jeune fille, ou comment cisailler dans le patriarcat à coup de griffes manucurées―parce qu'il parait qu'il n'y a rien de plus impudiquement aristo que de porter un surnom ridicule. âge, lieu de naissance — Young Man Holding a Skull, huile sur toile, 1626. les pieds tendent naturellement à dégouliner des accoudoirs―à tout juste dix-huit piges, ils sont partout sauf par terre. ciselée et délicate, les angles saillants et la fraîcheur du bouton de rose, la jeunesse vibre de vitalité, assourdissante comme seule l'adolescence masculine sait l'être. et, déjà, la toute aussi vive sensation de flétrir. perché sur le rebord du balcon, il cite conjointement hamlet et l'évangile, memento mori tatoué sous les paupières : "alexander died, alexander was buried, alexander returneth to dust, the dust is earth, of earth we make loam" // "for dust thou art, and unto dust shalt thou return". et si son christianisme lui a appris à révérer sa mortalité―et la subséquente souffrance dont elle est indissociable―, c'est son sud poisseux qui l'a doté des tripes pour la contempler. né à lafayette, sous la flotte, là où même l'air s'en va crever. smells like death down yonder. et c'est qu'on finit par se faire à l'odeur. nationalité — 'merica. l'arbre généalogique, majestueux, multicentenaire, est cultivé avec soin ; une mesure de prétention, deux de dévotion. il prend racine dans les marécages, swamp royalty aux ambitions baroques, visages pâles aux longues canines, cajun et catholique. situation familiale — ça fait sept ans que ses parents ont divorcé. tandis que papa gère le patrimoine familial et leurs prestigieuses écuries, maman, experte oisive, papillonne. extravagante southern belle au charme ravageur, sa scandaleuse réputation fait office de private joke entre eux : the lady sure is a tramp. gilly attend patiemment que son en-cas du jour expire. s'entend, qu'il finisse par aller voir ailleurs―après une existence à la regarder s'enticher de tous les pires, il a fini par relever le pattern. chaque fois, elle vit son cœur brisé comme une mystérieuse affliction victorienne ; s'effondre sous le supplice et s'envole par-delà l'atlantique pour une cure de soleil toscan. et si gilly comprend, il n'en tire aucune leçon : quand il fût temps de trancher, il les a choisi tous les deux, ou autrement dit, n'a choisi personne et certainement pas lui-même. s'est enlisé dans le rôle de celui qui aime trop en préférant l'exil vertueux. a porté sa croix jusque tout là-haut, parmi les conifères et les gargouilles, là il grelotte trois mois sur l'année et gèle le reste du temps. situation financière — comme on dit par chez lui, "bien amanché". et les goûts décadents qui vont d'accord. orientation sexuelle — make them wonder. côté coeur — à défaut d'être capable de le porter sur sa manche, à poitrine ouverte. ou alors, c'est indiscutablement comme ça qu'il le ressent, une incision clinique de son sternum à son nombril, le thorax déplié comme les pages d'un livre. il suffirait qu'elle tende la main pour le décrocher d'entre ses côtes, ce myocarde-oisillon, vrombissant et haletant dans sa cage. amoureux transi depuis ce qui se rapporte à une éternité—all hers for the taking. déformation confessionnelle, il ne connait pas d'amour qui ne suppose pas la foi indéfectible, unilatérale et intime ; qui ne se vit pas un peu comme une punition, un peu comme de la torture. maison, année d'étude — swynford, quatrième année. occupation — troublemaker à temps plein, artiste lorsque les muses sont clémentes. choix de carrière — non merci, sans façon. gilly rêve ; de gribouiller des portraits sur montmartre, de danser sur les tables à buenos aires, de s'envoyer en l'air aux pieds de la khazneh en jordanie. d'un épitaphe signé siken dans la crypte familiale. mais certainement pas de travailler. ew. fuck capitalism. à clayesmore depuis ? — trois ans. réputation — sulfureux et filandreux, extravagant et insolent, dédaigneusement jovial entre la frivolité arrogante et l'arrogance frivole. si tendresse de circonstance il y a de par l'onomastique cotonneuse, l'allure précieuse est tout de suite démentie par des racines fermement country. il entretient son mystère comme une entité vivante―parce que n'est-ce pas le cas ? le Moi n'étant qu'une illusion, se réinvente une persona tous les quatre jeudis, plus léchée à chaque fois ; pétrarque à l'appui, c'est la renaissance sur fond de Renaissance. à baigner depuis toujours dans l'arcane, à l'instar de son swamp, les eaux ont fini par gagner l'os : créature chimérique, mi-garçon mi-légende urbaine, The Jester, malicieux esprit frappeur qui souscrit à la mythologie des coins sombres, cligne des yeux et il a déjà disparu. fait l'honneur de swynford la baroque en étendant sa southern hospitality à l'ensemble de l'académie, hôte débonnaire et party boy émérite ; à l'origine de toutes les sauteries clandestines les plus burlesques. son impertinence fait parler de lui : il n'est que mépris saccharose pour les figures d'autorité et l'élitisme autrement que contenu dans les étroites balises qu'il a lui-même dessinées. son amour du tragique le rend particulièrement disposé aux sorties dramatiques et aux poignards dans le dos. vous aurez été prévenus. signe distinctif — inestimable legs hérité tout droit de sa mère qui a grandi sur le piedmont entre norfolk et charleston, son accent ; non-rhotique, anachronique et ô combien charmant, une exquise antiquité cérémonieusement cueillie du mythique antebellum south, d'autant plus ravissant encore d'être, en théorie, éteint. du velours jusque dans le fond de la gorge, le draaaawl s'étire à l'infini, long et sirupeux comme un interminable après-midi d'été, une cuillerée de miel pour enrober chacune de ses voyelles. clairsemé par son français cadien ; sacré par son gator grin ; paraît que gilly était né pour baratiner, a-rougarouin' jusqu'au petit matin. avis sur corvus — globalement positif ; moins intéressé par les secrets que par leurs inéluctables retombées. n'a qu'admiration pour quiconque disposé à donner un coup aussi mélodramatique dans la fourmilière. the mystery of it all : romantisme et morbide curiosité piqués. (a barely aching bridge that connects the terrible to the tender) / MOODBOARD
he wakes at night thinking: it's here! standing on the lawn, touching a balcony railing: it is here, now, looking up. looking for me. he tries to blow his candle out, but there is no candle. he snuffs the moon out with is palms. 「 a beautiful little fool 」 gilly, c'est rarement plus que la somme de ses parties. ses consonnes fricatives paresseuses et son amour des Grand Gestures. sa chevalière lissée par l'usage des pères et son neo-nihilisme explosif so very génération z. et avant d'être quoi que ce soit d'autre, il est esthète et décadent. s'il semble avoir traversé les âges, il n'en demeure pas moins un produit de son temps. dandy post-moderniste terriblement dapper dans son streetwear de luxe, il applique son existential dread toute contemporaine à l'ancestrale philosophie de l'Art pour l'Art : languide hédoniste, coquet et cynique, il revendique son droit à pourrir magnifiquement. voue un culte au Sublime, à l'opulent ascendant morbide, à la somptueuse superficialité. l'or et l'écru, le vert olive et le noir funérailles. huysmans et mccarthy, klimt et le préraphaélisme. une chemise ample ouverte sur un torse hâlé et une bague à chaque doigt, la cire de bougie et les chrysanthèmes. softboy par obligation identitaire, le cavalier romanesque est allégorique tout de coton blanc vêtu―la pureté ou le macabre, c'est volontairement libre d'interprétation. la non-ambition portée en étendard, il ne fait pas que comprendre la futilité de son existence, il l'embrasse fougueusement sous l'averse diluvienne. tous les excès sont permis puisque rien n'a ultimement d'importance et, de fait, il ne se refuse rien. créature profondément sensuelle au sens premier du terme, il vit son existence comme la plus cristalline des expériences esthétiques, n'a d'autres préoccupations que la recherche continue du beau et du théâtral. son séjour à l'académie a fait de lui un hôte légendaire ; il en hante joyeusement les couloirs, basses hypnotiques de dark pop sous les semelles ; en prestidigitateur habile, conjure le glitz et le glam à partir de trois fois rien, un râle et une étincelle. figure fantomatique, gatsbyesque : s'il est l'architecte des réjouissances, si elles sont excessivement grandioses, il est d'autant plus susceptible de s'en éclipser pour les observer de loin, mélancolique, wistful. “and I like large parties. they’re so intimate. at small parties there isn’t any privacy.” 「 midnight in the garden of good and evil 」 catholicisme clinquant et coloré en terre puritaine, il détonne chez les yankees. fervent dévot, il croit en dieu par habitude et en tout le reste par précaution. c'est sa cotton belt natale qui l'a rendu superstitieux. si gilly a quitté le sud il y a trois ans, le sud, lui, n'a jamais vraiment quitté gilly. il en sent encore le souffle, tourmenté et pyromane, pendant la messe et avant l'orage, chaque fois qu'il empoigne un pinceau. on le connait comme un étudiant charmant et dissipé, intelligent et dissident. à l'opposé, lorsqu'il peint, il se fait taciturne et taiseux, à la concentration telle qu'il lui faut que le monde s'efface au flou gaussien pour que celui en deux dimensions puisse se révéler sur la toile. il aime sa thématique sombre et violente, souvent religieuse. infuse ses tableaux à l'étrangeté inquiétante, The Uncanny. des portraits grotesques au regard troublé, la suggestion de la folie. d'obscurs symboles ésotériques et des ombres déformées, les ruines et l'agonie. la sainte vierge émerge d'un cimetière inondé, sereine et tragique, du lichen à la place des yeux. s'il se fait anormalement discret et se contente d'un haussement d'épaules évasif chaque fois qu'on l''interroge à leur sujet, c'est parce qu'il sait qu'ils parlent assez bien tous seuls. pas besoin d'un prix nobel pour interpréter sa psyché qui le ramène à son swamp moisi à l'histoire sinistre— the whole goddamn place is haunted. héritier du vieux south sanguinolent, il a grandi sur l'illustre plantation historique de sa famille ; domaine crépusculaire empreint de cabale où le temps devient matière tangible, vaporeux et suffocant. où les murs, eux, certainement, se souviennent. all in all, gilly considère son oeuvre avec désintérêt calculé. rien d'alarmant. juste un exorcisme. il n fait que recracher le southern gothic auquel il a été allaité. 「 bury me at make out creek 」 excentrique comme maman et passionné comme papa, gilly est de ceux qu'on remarque. orfèvre-minaudier à la grâce liquoreuse, honey boy à l'aura lumineuse, holding court depuis ses grands airs princiers ; il parle tout le temps, si bien qu'on se rend rarement compte qu'il ne dit jamais rien. s'il parait populaire, ses rapports avec ses pairs tendent à rester en surface, friand des regards mais encore plus de ses secrets. tendre et aérien en vertu d'être cotton, il possède la sensibilité diaphane du bébé chat—et la même lueur machiavélique dans le regard—, fatalement, il est vulnérable, suffit d'une brise pour le décontenancer. on pourrait donc, à tort, penser que c'est par instinct de préservation qu'il tient tout le monde à un bras de distance, qu'il s'épargne. faux ; personne n'est aussi cruel avec gilly que gilly lui-même, personne ne joue mieux au boucher avec son myocarde que yours truly. voyeur pour sa propre douleur, sa propre hémoglobine, et ne conçoit pas de plus belle mort que celle par amour. il se languit : pour dieu, pour ses parents désintéressés, pour un étranger à la mâchoire effilée. s'éprend de l'impossible et se noie dans son longing, sucré à s'en arracher les dents, par hubris et par masochisme. déploie les mêmes efforts titanesques à s'aimer qu'à se détester ; une tâche si sophistiquée que, naturellement, elle ne pourrait être confiée à autrui. et puis, il chérit la solitude dans laquelle il s'est enveloppé, sa morsure exquise, sainte patronne de l'Inspiration. se laisse volontiers aller aux baisers cinématographiques, aux rendez-vous clandestins, aux mots doux et aux œillades languides saturées de heartache liquide au détour d'un couloir ; mais demeure intouchable, brisé d'avance. 「 past empty lots and early graves 」 le vide et les escapades nocturnes. l'orage et écraser son pied sur la pédale de vitesse. la poudre qui secoue le monde et la pilule qui le submerge dans l'ambre. tout ce qui tranche. le cuivre qui persiste sous le palais. the sound and the fury. chez gilly, le death wish sonne un poil trop littéral. entre le Mal Du Siècle et le mal du siècle, blâme la génétique pour les papillons noirs infectieux. il s'agit en tout cas de la prérogative de son père qui a diamétralement changé de refrain de "boys will be boys" à "it's impossible to be the only burning room in a house on fire". enter : l'indémodable c'est la faute de, dégainé comme un flingue au visage de son ex-femme à la santé fragile. do you see the irony ? impassible, gilly les regarde se bouffer le nez pour le dernier mot, trop absorbés par leur dispute minable pour réaliser qu'il leur a été subtilisé depuis longtemps. pseudonyme — anaïs (belispeak) ton avis sur le forum — disons que l'attente en aura 1000x fois valu le coup. congrat's ma'am, it's a serve fréquence de connexion — quotidienne avatar — nick pervak
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| bullets through rotten fruit; Ven 7 Aoû - 10:28 Nieve Flores l'aes de ta fiche en jette. et ce début est hyper prometteur. qui plus est, j'adore ce surnom, gilly, j'trouve ça super cute. (même si je sais pas si c'était l'effet escompté, tho) bienvenue sur le forum, bon courage pour la suite. |
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| bullets through rotten fruit; Ven 7 Aoû - 11:18 Ren Belinsky je m'attendais à voir une go, me demande pas pourquoi mais du coup j'suis shook. (p'têtre à cause de gilly dans got ?) mais on t'a déjà dit que t'étais bô comme un coeur ? - gilly cotton a écrit:
- occupation — troublemaker à temps plein, artiste lorsque les muses sont clémentes.
ouuuuuh tell me moooore. - gilly cotton a écrit:
- extravagante southern belle au charme ravageur, sa scandaleuse réputation fait office de private joke entre eux : the lady sure is a tramp. gilly attend patiemment que son en-cas du jour expire. s'entend, qu'il finisse par aller voir ailleurs―après une existence à la regarder s'enticher de tous les pires, il a fini par relever le pattern. chaque fois, elle vit son cœur brisé comme une mystérieuse affliction victorienne ; s'effondre sous le supplice et s'envole par-delà l'atlantique pour une cure de soleil toscan.
j'ai tellement aimé ce passage (et beaucoup d'autres mais celui là +++), tellement imagé, tellement beau, tellement bien décrit. bienvenue ici, jtm, donne-moi la suite pls pls. |
| | | bullets through rotten fruit; Ven 7 Aoû - 11:28 Oz Sparks l’aes est validée ;; nothing new here ;; le mb est chef’s kiss ;; le peuple veut plus de lecture ;; merci de remplir au plus vite ;; le choix de carrière est un big mood ;; |
| | | bullets through rotten fruit; Ven 7 Aoû - 11:30 Nocturne Fauntleroy omg je l'attendais !! et omg c'est tellement mieux que ce que j'aurais jamais pu imaginer!! un plaisir à lire, vraiment. i want more |
| | | bullets through rotten fruit; Ven 7 Aoû - 11:43 Kennedy Keith thisthis talks to me on a higher level entre la plume, le personnage et ce que tu m'en as déjà dit, je suis tellement amoureuse et j'ai si hâte de lire la suite puis je répète mais ta plume est un délice (je voudrais citer des passages mais je n'ose pas disséquer le tout) on se sent bien dans toutes les scènes que tu veux décrire par là j'entends qu'on a l'impression d'y être bref, bienvenue |
| | | bullets through rotten fruit; Ven 7 Aoû - 14:07 Rory Clare That god forbid, that made me first your slave, I should in thought control your times of pleasure, Or at your hand th' account of hours to crave, Being your vassal bound to stay your leisure. O let me suffer, being at your beck, Th' imprisoned absence of your liberty; And patience tame to sufferance bide each check, Without accusing you of injury. Be where you list, your charter is so strong That you yourself may privilege your time To what you will; to you it doth belong Yourself to pardon of self-doing crime. I am to wait, though waiting so be hell, Not blame your pleasure, be it ill or well. |
| | | bullets through rotten fruit; Ven 7 Aoû - 14:40 Colm Hawthorne |
| | | bullets through rotten fruit; Ven 7 Aoû - 16:16 Izabella Rothschild |
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| bullets through rotten fruit; Ven 7 Aoû - 16:22 Neven Alvaro ce choix d'avatar bienvenue chez toi |
| | | bullets through rotten fruit; Ven 7 Aoû - 17:13 Invité Bienvenue. |
| | | bullets through rotten fruit; Ven 7 Aoû - 17:22 Lyrae Reyna ouh j'aime la vibe bienvenue |
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| bullets through rotten fruit; Ven 7 Aoû - 23:48 Levi Botsford bienvenue parmi nous |
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Age : 23
| bullets through rotten fruit; Sam 8 Aoû - 2:11 Hero Mareš l'aes est divin, tes mots aussi hâte de découvrir davantage gilly (fan du pseudo d'ailleurs!!) puis t'as choisi le meilleur club, tu marques que des bons points tu me rends curieuse |
| | Posts : 278 Points : 217
Age : 22
| bullets through rotten fruit; Sam 8 Aoû - 7:29 Léonildor Rodds mais gilly, c'est si s o f t
bienvenue ici et bon courage pour la suite |
| | | bullets through rotten fruit; Sam 8 Aoû - 18:21 Ryu Shira - Citation :
- Young Man Holding a Skull, huile sur toile, 1626. les pieds tendent naturellement à dégouliner des accoudoirs―à tout juste dix-huit piges, ils sont partout sauf par terre. ciselée et délicate, les angles saillants et la fraîcheur du bouton de rose, la jeunesse vibre de vitalité, assourdissante comme seule l'adolescence masculine sait l'être. et, déjà, la toute aussi vive sensation de flétrir. perché sur le rebord du balcon, il cite conjointement hamlet et l'évangile, memento mori tatoué sous les paupières : "alexander died, alexander was buried, alexander returneth to dust, the dust is earth, of earth we make loam" // "for dust thou art, and unto dust shalt thou return". et si son christianisme lui a appris à révérer sa mortalité―et la subséquente souffrance dont elle est indissociable―, c'est son sud poisseux qui l'a doté des tripes pour la contempler. né à lafayette, sous la flotte, là où même l'air s'en va crever. smells like death down there. et c'est qu'on finit par se faire à l'odeur.
i just got SCHOOLED svp revenez avec moins de perfection ça éblouit c pas gentil |
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| bullets through rotten fruit; Dim 9 Aoû - 21:17 Panayiotis Saint-James j' adore ta plume, wsh !! bon déjà ce que tu as teasé de gilly est ouf, mais l'perso qui promet dans ta fiche donne encore plus envie ahjsahjashj. l'blaze ?? que ce soit gilly cotton (ptdr j'kiffe si fort) ou victor iii, i'm in love. gros bienvenue sa race !! |
| | | bullets through rotten fruit; Lun 10 Aoû - 12:01 Calypso Price au moins une qui n'aura pas fini sa fiche avant moi, certains escargots sauvent encore leur réputation j'aime déjà tellement ce que je lis faudra qu'on cause lien |
| | | bullets through rotten fruit; Mar 11 Aoû - 4:12 Elione Belrose UNE PRÉVENUE DE LA PREMIÈRE HEURE let me love ya et ce pseudo, je suis bien trop fan |
| | | bullets through rotten fruit; Mer 12 Aoû - 10:53 Gilly Cotton je suis graaave à la bourre mais what else is new, merci à tous pour votre accueil @nieve flores si si, gilly c'est la cutance, tu verras, mais il est loin d'être aussi cute que toi (+ j'ai déjà stalké ta fiche et ta nieve mais quel bijou j'espère qu'on pourra se trouver un lien) @ren belinsky je vis pour la confusion liée au pseudo, keep it coming trop trop gentil, merci beaucoup @oz sparks merci bel étranger @nocturne fauntleroy trop mims toi ; hâte qu'on s'amuse avec nos deux snobs @kennedy keith faut bien apparaître sous son meilleur jour pour séduire the queen of american gothic tu connais mon admiration pour toi ; ça me va droit au coeur et maintenant je rougis @rory clare entends-tu lloyd soupirer de satisfaction quelque part au loincheers, old sport @colm hawthorne AND YET, tu nous as même pas encore trouvé un lien @izabella rothschild dO I kNoW yOU ? @neven alvaro @ishbel mcneil @lyrae reyna @levi botsford @léonildor rodds merci à vous @hero mareš merci pauline @ryu shira mais toi alors stp après le flex absolu que sont ce perso et cette fiche @panacotta (désopasdéso) compliment venant d'un prof >>>>>> tout @calypso price tmtc, escargot vie @elione belrose mais oui, CHAMPAGNE (quel beau boulot ) |
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| bullets through rotten fruit; Mer 12 Aoû - 14:03 Aurora Bennett cette plume, cet aesthetic, c’est tout bonnement magnifique gilly promet, en plus swim team?? un lien va être de mise bienvenue |
| | | bullets through rotten fruit; Mer 12 Aoû - 14:22 Gilly Cotton @aurora bennett (carla genre... carla ??? ça fait un baaail) avec plaisir pour le lien miss bennett, tout ce que tu veux |
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Age : 23
| bullets through rotten fruit; Mer 12 Aoû - 14:27 Aurora Bennett @Gilly Cotton je me disais que je connaissais pas de drake (identity que j’avais vu) mais en fait c’est anaïs mais oui ça fait un bail ohlala et j’arrive illico presto pour le lien du coup |
| | | bullets through rotten fruit; Ven 14 Aoû - 11:13 Invité j'avais quand même une idée de ce que je trouverai en venant par ici mais pas une idée aussi accurate que ça oh bordel l'acadien sa mère ( ) et cette intertextualité forcenée qui me met des tas de sublimes références dans la tête pour les heures à venir miam |
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