Si Clayesmore Prep se veut être un forum participatif, il n'a nullement vocation à devenir communautaire. Merci donc de bien vouloir éviter l'abus de privates jokes dans les sections ouvertes à l'ensemble du forum. Enfin, le forum se veut être une seconde maison où chacun puisse être libre de venir rp à son rythme, qu'il soit simple membre ou fasse partie staff. Prénom Nom Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Integer ut pulvinar arcu, quis sodales orci. Prénom Nom Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Integer ut pulvinar arcu, quis sodales orci. | | | vous êtes empereur, seigneur, et vous pleurez ! Jeu 13 Aoû - 0:48 Lucien Deslauriers lucien deslauriers c'était et je voudrais ne pas m'en souvenir c'était au déclin de la beauté surnom — tare originelle. le prénom qui ne se prête pas aux alias. ce lucien, pourtant trop long, trop alambiqué, qui refuse catégoriquement de se laisser remplacer. ils ont bien essayé de l'atrophier (luc), de l'estropier (lucie), de le défigurer (luce), de l'amputer de sa tête, ses bras, ses jambes (cien, lou, lucio). mais toujours, ça ne va pas, ça sonne faux, et lorsqu'on essaie de l'imposer, de l'apposer sur ce jeune homme passif, ça fait l'effet d'un costume trop grand, d'une chaussure trop serrée. et pourtant, lucien, il se laisse faire, adressant un sourire docile, presque implorant à quiconque s'essaie à cette boucherie identitaire. rien à faire. les gens abandonnent, dédaignent même ce prénom de malheur, indomptable, ce prénom de faux-bourgeois, de nouveau riche. c'est le patronyme qui prend le relais, le plus souvent. deslauriers qu'on l'appelle, le plus souvent (quand on l'appelle). âge, lieu de naissance — sur ses papiers d'identité, y'a le nom d'un bled qu'aucun anglophone ne peut placer, un patelin perdu sur la pointe d'un golf breton, comme prêt à se jeter dans la mer. lucien, il en rit des fois ; il dit que c'est l'iode qui a fini par effacer arzon de toutes les cartes. l'iode qui rend la peau moite, qui alourdit les vêtements et les âmes, qui blanchit les yeux et la pulpe des doigts. lorsqu'on lui demande comment c'est, là-bas, à la sortie des golfs bretons dont on entend jamais parler, il a un sourire vague, presque absent (presque inquiet, quand on y pense), et il dit, d'un ton tellement doux qu'il paraît presque être murmuré, il dit qu'après tout, il y est né, mais c'est bien tout ce qu'il y a fait ; ça fait trente-quatre ans qu'il en est parti. puis il ajoute qu'il n'a aucun souvenir de la mer. il est né dedans, mais il l'a jamais vue. nationalité — lorsqu'on lui pose la question, y'a la réponse qui sort avec un empressement presque coupable. américain, il est américain. rien d'autre. mais il doit bien être français, pourtant ; on le lui fait toujours remarquer, comme si, avec un nom pareil, c'était impossible qu'on lui ait accordé la nationalité américaine. non. américain. y'a des jours où il en vient à grincer des dents, à faire craquer ses doigts en répétant que, non, non, il a grandi ici (pas en france), qu'il a été naturalisé enfant, que la france, c'est une culture, pas une patrie. puis y'a les jours de lassitudes, les jours où le flegme le secoue d'un sursaut d'à quoi bon ?. lorsqu'on lui pose la question, il sourit et hausse les épaules : oui, je suis français. situation familiale — papa et maman n'ont jamais été dans le tableau familial. il s'attarde pas sur la question, lucien. il se contente de souligner qu'il n'est pas triste, qu'ils ne lui manquent pas (parce qu'il ne regrette pas les choses, les gens qu'il n'a pas connus). parfois, on peut grappiller quelques détails, qu'il parsème au détour de telle conversation nocturne, de telle confidence alcoolisée. c'est une histoire qui parle de mer, de vague scélérate, de vies happées en l'espace de quelques secondes. c'est une drôle d'histoire, d'ailleurs, joliment racontée par lucien, qui n'a jamais l'air vraiment triste. il parle de la mort de ses parents comme on récite un poème, un conte folklorisant et invraisemblable. il n'avait même pas un an lorsqu'il a été envoyé chez son parrain, un oncle excentrique, francophile, potomane, mythomane. les plus mauvaises langues disent que c'est ce parent éloigné qui, grâce à des connections obscures, des réseaux méconnus, a fait entrer lucien à clayesmore. il laisse dire. il plane autour de ce personnage anonyme un brouillard épais. naïvement, lucien ne l'appelle jamais autrement que "mon oncle d'amérique", comme s'il était encore, malgré tout, en france. comme s'il désignait un inconnu méconnu, vivant sur un continent lointain, égaré. il ne dit jamais rien de lui, ne semble toucher aucune pension, aucun héritage. seules subsistent quelques excuses pour des départs d'un week-end, des "ah, oui, je vais chez mon oncle d'amérique" murmurés avec un sourire presque désinvolte. situation financière — il roule pas sur l'or, lucien. il vit dans ce quotidien bizarre, insipide, qui n'est défini par rien ; ni par les essoufflements désespérés de la misère, ni par les excès effrontés du luxe. s'il n'était pas à clayesmore, entouré de fortunes colossales, sa situation serait sans doute tout à fait normale. mais ces dynasties impitoyables ne laissent rien passer aux sans-fortunes, à ces transfuges sociaux qui pensent pouvoir crever leurs rangs en toute impunité. son orphelinage (financier et familial) l'aliène, le rend inintéressant, incolore, voire tout à fait méprisable. alors lucien, il endure, subit passivement sa place dans la hiérarchie sociale de clayesmore prep, avec une docilité si naturelle, si bienfaisante, qu'on la confondrait presque avec une torpeur inconsciente. peut-être qu'il s'en rend pas compte, qu'on se dit parfois, peut-être qu'il pense vraiment que c'est parfaitement normal. peut-être que c'est juste un imbécile heureux. orientation sexuelle — la bisexualité à peine assumée. deux mondes de sensualités et de jouissances, séparés par un torrent de moeurs, de doutes, d'incompréhensions. y'a les femmes, embrassées avec fureur, au détour d'une rue passante. les bravades naïves pour les conquérir, les bravades inconscientes qui l'essoufflent jusqu'à l'aube. ce confort de savoir que l'on aime impunément, qu'il a associé aux parfums floraux et enivrants, aux courbes étrangères, à ces femmes qui le font s'oublier, l'espace d'un instant, d'une nuit et d'une aube. puis, y'a les hommes — les regards volés, anxieux. le contact incertain, qui fait l'effet d'une décharge (punitive, salvatrice), et lucien se recule d'abord, le regard fou, déchiré. il y a quelque chose dans ces étreintes désespérées, amères et spectacles, qui le flingue, qui lui donne envie de se planter un couteau dans le coeur pour que ces passions durent le temps d'une vie, pour passer au-delà de l'aube, pour éviter le chemin du retour et le questionnement cruel, inévitable, qui lui saisit le coeur. pourtant, il ne cache pas qu'il aime aussi les hommes. mais ça intrigue, c'est comme une fausse note dans son caractère a divinis. on peine à comprendre pourquoi son regard se voile lorsqu'il croise celui d'un autre homme, lorsque lucien comprend que son coeur va de nouveau s'échouer sur des rivages trop pareils aux siens. côté coeur — instable, volage. un rien lui brise le coeur et tout le lasse. lucien est de ceux qui s'amourachent tous les jours, capable de tomber amoureux, quatre fois en une heure ou dix fois de la même personne. deslauriers est romantique, mais il est aussi lunatique, vain. il ne connaît que trop bien l'adultère, les lèvres humides d'un baiser alors qu'il professait sincèrement un amour éternel à quelqu'un d'autre le matin même. il n'est pas méchant, lucien, il essaie sincèrement, mais il a le coeur capricieux, le coeur qui le conduit où il veut, qui le mène à la baguette, le coeur qui se serre, se brise, éclate en gros sanglots s'il n'est pas contenté. maison, année d'étude — lycéen, lucien n’a jamais mis les pieds à clayesmore. facteur aliénant de plus ; il est comme tombé du ciel, totalement étranger aux moeurs de l’établissement. il a toujours manifesté un intérêt curieux pour les différentes maisons, les mentalités de castes et de classes qui ont fermenté entre les quatre murs de l’établissement, mais ne semble avoir aucune affinité particulière pour l’un des clans de clayesmore. occupation — il est intéressé par tout, mais ne s’engage dans rien. pas le temps, qu’il dit. lucien aime écrire, apparemment ; la plupart de son temps libre, il le passe à griffonner dans des carnets que personne ne lit, que personne ne comprendrait de toute façon ; des phrases sans queue ni tête, des mots hasardeux, une sorte de poésie de l’absurde qui s’étale sur des pages et des pages ; vertige surréaliste. de toute évidence, deslauriers est un homme occupé. à quoi ? personne ne sait. choix de carrière — zola, racine et apollinaire en outils de travail. lucien est professeur de littérature française à clayesmore. il a le nom de l’emploi, on le lui dit souvent, et lui, il répond en riant que ses parents ont surement choisi son nom en prédisant qu’il enseignerait ce genre de matière obscure. la littérature française, c’est surement pas ce qu’il y a de plus clinquant à clayesmore ; ça amuse ceux qui maîtrisent des matières plus fameuses — la france ? ils ont une littérature, là-bas ? et y’a les rictus qu’on échange lorsque lucien, trop doux, trop naïf pour penser que la question n’est pas sincère, essaie de s’expliquer, de vendre les mérites de flaubert et de koltès. à clayesmore depuis ? — lucien est encore considéré comme un nouveau ; il n’est là que depuis deux ans. deux ans qui ont suffi aux élèves et aux professeurs de clayesmore pour l’estimer, le jauger, le peser, l’analyser, lire en lui comme dans un livre ouvert. la plus grosse erreur de lucien, qu’on pense, c’est d’être transparent, c’est de laisser les autres affuter leurs couteaux sur les moindres détails de son caractère. son arrivée aura été un hot topic pendant trois jours ; puis on s’est rendu compte que le français n’avait rien de mystérieux. au bout d’une semaine, lucien était à clayesmore comme un meuble, dont on connaîtrait les moindres défauts, les moindres tiroirs cachés. réputation — deslauriers, paradoxalement, c’est un professeur qu’on a tendance à respecter. lorsqu’il est sur une estrade ou derrière un bureau, son caractère recueilli et apaisé s’éclaire d’une lumière inquiétante, celle de l’universitaire qui connaît trop bien son sujet, qui sait qu’aucune théorie, aucune interjection ne peut l’impressionner ou l’étonner. et malgré ses sourires doux, encourageants, malgré ses efforts pour ne jamais paraître sévère dans ses rectifications, il impressionne. puis, deslauriers est jeune, deslauriers n’entretient pas cette aura méprisante et altière qu’ont tant de professeurs à clayesmore. il est de ces enseignants qui laissent le respect et l’admiration des élèves aller et venir, qui ne sont vaguement stricts plus pour la forme que par conviction. c’est peut-être ce qui fait de lucien une sorte d’icône déchue en dehors de la salle de classe ; pour la majorité des professeurs, il n’est rien de plus qu’un parvenu, dont la spécialisation est vaine, délaissée, un imbécile heureux qui ne se formalise pas des atteintes portées à son personnage. parfois, la rumeur s’échappe du corps enseignant ; mais si certains élèves peuvent périodiquement se rendre compte que deslauriers n’est rien de plus qu’une fraude éhontée, son aura de spécialiste est suffisamment éclairée pour ne jamais souffrir des on-dits et des ricanements au détour d’un couloir. signe distinctif — sa façon de parler ; ce ton coulant, susurrant, révélateur d’une innocence encore intacte. lucien, il n’élève jamais la voix, ses mots n’heurtent jamais les oreilles des autres ; ceux qui doivent l’entendre, l’entendront, qu’il se dit. y’a quelque chose de parfaitement maîtrisé dans ses discours ; il sait ce qu’il doit dire. il sait comment le dire. parfois, on a l’impression qu’il sait même ce qu’on doit lui répondre — aucun étonnement, aucune frustration, aucune déception dans son ton. jamais. puis, sa parole, elle se distingue aussi par l’irrégularité de sa prononciation. l’empressement de ses voyelles, le déroulement de ses consonnes est peut-être plus révélateur de son état d’esprit que son ton, finalement. le a qui s’ouvre lorsqu’il est ravi, le o qui devient plus long, plus sombre lorsqu’il est las. et, beaucoup plus rare, beaucoup plus étonnant aussi, le r qui se met à rouler sur la langue lorsqu’il est fâché, lorsqu’il serre les poings et la mâchoire. avis sur corvus — de ce qu’il veut bien admettre, il est relativement indifférent ; il sait que lui ne craint rien, qu’est-ce que cet ignoble personnage pourrait bien avoir sur un garçon sans histoire comme lui ? il affirme que, lui, ça ne l’intéresse pas ces histoires, ces chantages orchestrés par les puissants pour faire tomber d’autres puissants. il se considère comme hors compétition, dans les loges, spectateur de cette grotesque mascarade tragique. cependant, lorsqu’il entend ce nom au détour d’une conversation, il s’immobilise, écoute. même s’il a toujours ce sourire paisible aux lèvres, son regard absent, parfois fuyant, en dit bien trop ; le garçon de rien ne se sent pas tant à l’abris que ça. mais il a cet air tellement innocent, tellement désintéressé de tout, que personne ne pense à le questionner, à pointer du doigt les vacuités évidentes de son histoire. 「 PLAYLIST 」(i) inside your mind — the 1975 (ii) alternate world — son lux (iii) sovereign light café — keane (iv) poetry by dead men — sara bareilles (v) pierre — natasha, pierre & the great comet of 1812 (vi) mirrorball — taylor swift (vii) wake me — bleachers (viii) when the season ends — hibou (ix) bette davis eyes — kim carnes (x) daydrunk daydreams — axel st. patience (xi) hold you now — vampire weekend (xii) the lakes — taylor swift 「 CONFITEOR/DIEU EST MORT DOUBLE FEATURE 」 la bouche encore saintes des prières sagement récitées qui s’écrase sur un corps maudit. le dilemme éternel de l’homme qui ne sait s’il doit se tourner vers les caresses mortifères de dieu, ou s’il doit se laisser tomber dans les limbes doucereuses du blasphèmes. il croit, lucien, il croit aussi fort qu’il peut, les yeux fermés, le front contre le mur. il croit, mais rien n’y fait, ses illusions se perdent. il ne sait plus comment faire pour être crédule, pour sauver son innocence qui s’effrite peu à peu entre ses doigts, pour empêcher le vent froid du cynisme d’embrumer ses yeux. entourée de flammes ferventes notre-dame m’a regardé à chartres / le sang de votre sacré cœur m’a inondé à montmartre / je suis malade d’ouïr les paroles bienheureuses / l’amour dont je souffre est une maladie honteuse / et l’image qui te possède te fait survivre dans l’insomnie et dans l’angoisse // c’est toujours près de toi cette image qui passe「 MAYBE I'M DIVINE, MAYBE I'M CELESTIAL 」 lucien, ses doigts prodiges qui savent démêler les cordes entremêlées du coeur. ses iris clairvoyants qui comprennent les plus obscures tempêtes de la psyché. ses paroles conciliantes qui apaisent les plaies palpitantes, les heurts mortifères. c’est l’ami qui faut avoir, lucien, le confident sacro-saint qui semble tout comprendre, tout accepter. il a jamais besoin d’être écouté, lucien, il est seulement animé par cet instinct viscéral de cueillir aux lèvres des autres leurs faiblesses, leurs mélancolies, qu’elles soient passagères ou fondamentales. les seuls spectres qu’il semble pas comprendre, ce sont les siens. il ne s’explique pas les assombrissements passagers de son coeur, il ne justifie jamais le voile qui trouble ses yeux. lucien, il donne pas l’impression d’être mystérieux, d’être secret ; lorsqu’il dit qu’il va bien, le sourire aux lèvres et les yeux tristes, on est obligé de le croire, on se dit que c’est simplement sa couleur du jour (carmin sur fond de mélancolie). parce qu’au fond, il a l’air d’être hors du temps, éthéré, invulnérable aux supplices humains, alors il faut bien que ses chagrins soient quelque chose de plus. quelque chose qu’on ne comprend pas. qu’est-ce qu’on y peut après tout ? les archanges ne sont fondamentalement pas des tragiques. 「 !!! I FEEL NUMB !!! 」 santé fragile. la vulnérabilité qui accompagne nécessairement la douceur du caractère et la lividité des yeux. asthmatique, il supporte pas la fumée des cigarettes qui stagne, menaçante, le long des couloirs. allergique, ses yeux se mettent à pleurer continuellement dès le mois de mars, même au travers des rires les plus sincères, comme s’il était frappé de quelques chagrin divin et irrémédiable. sensible, il est assommé par la moindre chaleur, la moindre substance. gamin imparfait, gamin pas destiné à survivre, gamin fait pour être canonisé jeune. alors on envie de le protéger, lucien, cette espèce de poupée de porcelaine impassible et pourtant prête à se briser au moindre bouleversement. la seule chose qui ne semble pas attaquer son corps chancelant, c’est le froid ; les neiges hivernales qui rougissent à peine ses joues et les soirées fraîches d’automne ne semblent jamais gâter ses poumons, pourtant déjà cacochymes. 「 PANDORA'S BOX 」 (i) il parle couramment le français et l’anglais, et il paraîtrait qu’il est aussi parfaitement bilingue en allemand, russe et italien. pour une raison obscure, cependant, il semble totalement incapable de comprendre le moindre mot d’espagnol. (ii) il est académiquement spécialisé en littérature romanesque du dix-neuvième. (iii) il sait jouer de l'orgue ; une cicatrice irrémédiable de l'éducation excentrique et catholique de son oncle d'amérique, qu'il dit. (iv) il ne l’avoue pas, mais entretient un dégoût disproportionné du cinéma américain. tout le cinéma américain. (v) il est amateur de botanique ; son appartement tout entier est rempli d’herbiers qu’il complète sans cesse, de plantes qu’il soigne plus que lui-même. il est aussi philatéliste à ses heures perdues. (vi) il sait (et aime) faire du roller. fut un temps où il ne se déplaçait que comme ça, jusqu'à ce qu'il se rende compte que sa crédibilité de professeur pouvait être rapidement entachée par ses patins à roulettes holographiques. [/u] |
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| vous êtes empereur, seigneur, et vous pleurez ! Jeu 13 Aoû - 0:52 Panayiotis Saint-James bsr. t ki ? j'vais m'coucher. j'te dis demain matin à quel point j'te kiffe. alz bonne nuit. fais de beaux rêves, toussa toussa. |
| | | vous êtes empereur, seigneur, et vous pleurez ! Jeu 13 Aoû - 7:54 Gilly Cotton cody, racine, la plume sublime ça commence si bien bienvenue, plus stp |
| | Aubrey CarmichaelBATTE-MAN Posts : 91 Points : 5
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| vous êtes empereur, seigneur, et vous pleurez ! Jeu 13 Aoû - 10:01 Aubrey Carmichael bjr on signe où pour avoir un crush sur le prof non mais déjà la bouille + french lit (AUBREY EST JOIE!!!!!) + ta plume moi je succombe sur ce oui oui baguette |
| | | vous êtes empereur, seigneur, et vous pleurez ! Jeu 13 Aoû - 10:14 Thalia McDaniel et cette plume que dire omg je ne suis qu'amour j'veux tellement lire la suite parce qu'il intrigue avec l'côté mystique un peu (et pour le kiffe de mes yeux qui veulent en lire encore) bref, bienvenue |
| | | vous êtes empereur, seigneur, et vous pleurez ! Jeu 13 Aoû - 11:30 Elior Belrose Ok la fiche de la beauté qui fout une claque tellement c'est beau Du fc à tes mots, ptn, il est tellement classe ce prof là Et grave intrigant, we need to know more On exige même (faut signer où pour les cours particuliers ? ) Bienvenue et bon courage pour la fiche |
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| vous êtes empereur, seigneur, et vous pleurez ! Jeu 13 Aoû - 11:47 Wes Pritchard cody, prof de lit française, cette plume j'ai vraiment très hâte de découvrir luce. bienvenue |
| | | vous êtes empereur, seigneur, et vous pleurez ! Jeu 13 Aoû - 13:04 Priam Wright trop de profs pour nous encadrer bienvenue à toi bon courage pour ta fiche |
| | | vous êtes empereur, seigneur, et vous pleurez ! Jeu 13 Aoû - 13:20 Briony Collins Bienvenue |
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| vous êtes empereur, seigneur, et vous pleurez ! Jeu 13 Aoû - 13:45 Panayiotis Saint-James (bsr c'est re-moi) wsh comment t'es beau toi et pas seulement que de fc. franchement j'aurais pas pu rêver mieux pour un eden pas eden. ça se sent déjà que t'as un personnage exquis en tête, et qu'il va être sublimé par ta plume. tu m'rends grv heureux, honest. grv hâte de monter un crew avec toi krkrkr. bienvenue officiellement bb |
| | | vous êtes empereur, seigneur, et vous pleurez ! Jeu 13 Aoû - 16:58 Lucien Deslauriers @PANAYIOTIS SAINT-JAMES la rapidité pour poster le premier message je- ça flatte mon coeur ouin et j'suis trop contente qu'eden-lucien convienne à ce que tu attendais pour le moment (j'vais essayer de continuer sur la lancée tqt même pas) ça fait trop plaiz un tel accueil merci bg @GILLY COTTON jtm rien que pour avoir reconnu racine omg ma vie et merci bcp c'est trop kiki @AUBREY CARMICHAEL bah j'allais te dire fais toi plaiz pour le crush mais aaron en fc??? lucien est pas payé pour ce genre de tentations bacchanales ptn mais bon si jamais y'a besoin de quelqu'un pour apprendre à aubrey les subtilités des 120 journées de sodome........ voilà quoi @THALIA MCDANIEL !!!!!! mais ces messages trop gentils trop doux tout ça vous me tuez en fait merci du fond du coeur boT tes mots me font trop plaisir aussi @ELIOR BELROSE timmy en fc omg t bo j'essaie de me dépêcher pour compléter ma fiche pour pas la laisser vide et nue trop longtemps ouin mais bien entendu lucie dit jamais non à des cours particuliers pour mettre du beurre dans les épinards (surtout pour des élèves aussi bg qu'elior on va pas se mentir )@WES PRITCHARD merci bg, ça fait plaiz @PRIAM WRIGHT c'est pas lucie qui va encadrer quoique ce soit ce babtou fragile là et merci beaucoup @BRIONY COLLINS merciii |
| | | vous êtes empereur, seigneur, et vous pleurez ! Jeu 13 Aoû - 19:14 Calypso Price non mais le choix de pl, le prof qui se dessine, ta plume, tout, en fait je bienvenue du coup et trop hâte de lire la suite |
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| vous êtes empereur, seigneur, et vous pleurez ! Jeu 13 Aoû - 19:36 Ren Belinsky j'suis désolée, moi j'bloque sur... de LA wifi ? c'est comme LE game boy, j'suis juste pas d'accord même si apparemment c'est ça qu'on dit. bref après ces tergiversions... T'ES BEAU EH DIS. le pseudo je l'aime d'amour. on en parle du passage sur le surnom qui m'a déjà achevé ??? - lucien deslauriers a écrit:
- et pourtant, lucien, il se laisse faire, adressant un sourire docile, presque implorant à quiconque s'essaie à cette boucherie identitaire. rien à faire. les gens abandonnent, dédaignent même ce prénom de malheur, indomptable, ce prénom de faux-bourgeois, de nouveau riche. c'est le patronyme qui prend le relais, le plus souvent. deslauriers qu'on l'appelle, le plus souvent (quand on l'appelle).
euh??? si doux ??? TE LAISSE PAS FAIRE CHATON, DÉFONCE CES HÉRÉTIQUES QUI TE DÉPÈCENT DE TON IDENTITÉ (par contre moi j'suis de la france mais euh arzon je situe pas. ) bienvenue en tout cas mon tendre, le début est déjà si beau que j'sens que tu vas me faire chialer avant même d'avoir terminé. |
| | | vous êtes empereur, seigneur, et vous pleurez ! Sam 22 Aoû - 11:52 Lucien Deslauriers @CALYPSO PRICE ffhjkdfs merci boT ça me fait plaisir de lire que le peu que j'avais écrit plaisait déjà 1 peu @REN BELINSKY BAH j'allais protester pour /le/l wifi mais en vrai je crois que je dis tout le temps le?? je sais absolument pas pourquoi j'ai marqué la wifi omg mental illness littéralement et mooooh il le vit bien tqt y'a pas à s'en faire puis il est trop doux pour balancer des balayettes comme ça mais merci omg ton message il est doux comme du sucre vraiment (et arzon c'est tellement paumé que même les opérateurs internet le situe pas apparement, tqt y'a pas de mal ) |
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| vous êtes empereur, seigneur, et vous pleurez ! Sam 22 Aoû - 21:42 Ren Belinsky j'ai besoin de l'avis de @panayiotis saint-james pour pouvoir te valider. et puisque notre panacotta national est en absence, il faudra patienter un peu. désolée. |
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| vous êtes empereur, seigneur, et vous pleurez ! Sam 22 Aoû - 21:44 Panayiotis Saint-James je suis pas en absence, ça a été archivé ce matin seulement soirée raclette, je lis en rentrant mais je suis sûr que c’est parfait (et là plot twist, c’est de la merde.) |
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| vous êtes empereur, seigneur, et vous pleurez ! Sam 22 Aoû - 21:45 Ren Belinsky |
| | | vous êtes empereur, seigneur, et vous pleurez ! Sam 22 Aoû - 22:05 Lucien Deslauriers je vois que ça doute de mes capacités par ici déçue (mais pas choquée) |
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| vous êtes empereur, seigneur, et vous pleurez ! Dim 23 Aoû - 11:06 Panayiotis Saint-James (sry j'suis rentré tard et alcoolisé ) ta fiche bb jamais douté de toi. mais c'est encore plus beau que ce que je pensais ahjashjsajh. tu t'es totalement approprié le pl et tu l'as rendu si humain, si à toi. j'adore. il est magnifique, lucien. c'est ofc tout bon pour moi ajsajhsahj. |
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| vous êtes empereur, seigneur, et vous pleurez ! Dim 23 Aoû - 12:07 Ren Belinsky Félicitations, tu es désormais officiellement validé ! Et, de fait, tu rejoins la sphère très restreinte des supers membres de Clayesmore Prep. Alors, pas trop ému ? En tout cas, ta fiche elle était... vraiment très très jolie ! j'ai adoré chaque partie, le choix de tes mots était toujours très avisé. - lucien deslauriers a écrit:
- situation financière — il roule pas sur l'or, lucien. il vit dans ce quotidien bizarre, insipide, qui n'est défini par rien ; ni par les essoufflements désespérés de la misère, ni par les excès effrontés du luxe. s'il n'était pas à clayesmore, entouré de fortunes colossales, sa situation serait sans doute tout à fait normale. mais ces dynasties impitoyables ne laissent rien passer aux sans-fortunes, à ces transfuges sociaux qui pensent pouvoir crever leurs rangs en toute impunité. son orphelinage (financier et familial) l'aliène, le rend inintéressant, incolore, voire tout à fait méprisable. alors lucien, il endure, subit passivement sa place dans la hiérarchie sociale de clayesmore prep, avec une docilité si naturelle, si bienfaisante, qu'on la confondrait presque avec une torpeur inconsciente. peut-être qu'il s'en rend pas compte, qu'on se dit parfois, peut-être qu'il pense vraiment que c'est parfaitement normal. peut-être que c'est juste un imbécile heureux.
toute la partie sur les dynasties impitoyables et les transfuges sociaux, j'ai trouvé ça très très beau. - lucien deslauriers a écrit:
- côté coeur — instable, volage. un rien lui brise le coeur et tout le lasse. lucien est de ceux qui s'amourachent tous les jours, capable de tomber amoureux, quatre fois en une heure ou dix fois de la même personne. deslauriers est romantique, mais il est aussi lunatique, vain. il ne connaît que trop bien l'adultère, les lèvres humides d'un baiser alors qu'il professait sincèrement un amour éternel à quelqu'un d'autre le matin même. il n'est pas méchant, lucien, il essaie sincèrement, mais il a le coeur capricieux, le coeur qui le conduit où il veut, qui le mène à la baguette, le coeur qui se serre, se brise, éclate en gros sanglots s'il n'est pas contenté.
moh bb. j'aime trop le fait qu'il tombe amoureux si facilement. - lucien deslauriers a écrit:
- choix de carrière — zola, racine et apollinaire en outils de travail. lucien est professeur de littérature française à clayesmore. il a le nom de l’emploi, on le lui dit souvent, et lui, il répond en riant que ses parents ont surement choisi son nom en prédisant qu’il enseignerait ce genre de matière obscure. la littérature française, c’est surement pas ce qu’il y a de plus clinquant à clayesmore ; ça amuse ceux qui maîtrisent des matières plus fameuses — la france ? ils ont une littérature, là-bas ? et y’a les rictus qu’on échange lorsque lucien, trop doux, trop naïf pour penser que la question n’est pas sincère, essaie de s’expliquer, de vendre les mérites de flaubert et de koltès.
MOH BB ! qu'il comprenne pas l'ironie de la question et essaie vraiment d'y répondre, j'le trouve trop cute. - lucien deslauriers a écrit:
- la plus grosse erreur de lucien, qu’on pense, c’est d’être transparent, c’est de laisser les autres affuter leurs couteaux sur les moindres détails de son caractère. son arrivée aura été un hot topic pendant trois jours ; puis on s’est rendu compte que le français n’avait rien de mystérieux. au bout d’une semaine, lucien était à clayesmore comme un meuble, dont on connaîtrait les moindres défauts, les moindres tiroirs cachés.
jsp quoi dire par rapport à ça mais je voulais quoter. l'ascenseur émotionnel d'être le centre de l'attention et le désintérêt rapide et meurtrier, c'est... - lucien deslauriers a écrit:
- gamin imparfait, gamin pas destiné à survivre, gamin fait pour être canonisé jeune. alors on envie de le protéger, lucien, cette espèce de poupée de porcelaine impassible et pourtant prête à se briser au moindre bouleversement.
bien sûr qu'on veut le protéger lulu. ta fiche m'arrache le coeur tellement je l'aime ton gamin. (un grand gamin but still un gamin. ) - lucien deslauriers a écrit:
- (vi) il sait (et aime) faire du roller. fut un temps où il ne se déplaçait que comme ça, jusqu'à ce qu'il se rende compte que sa crédibilité de professeur pouvait être rapidement entachée par ses patins à roulettes holographiques.
???? mdrrr pls j'veux que lucien vienne en rollers à clayesmore. bon j'ai déjà énormément quoté, mais j'voulais préciser que je me suis retenue de pas quoter plus. j'ai quoté que le principal et le nécessaire. (et y'a tellement... ) Alors entrons tout de suite dans le vif du sujet ! Le secretMerci de bien vouloir te manifester dans l'éventualité où le staff te validerait sans avoir validé ton secret au préalable. Pour ce faire, il te suffit d'envoyer ton secret, ainsi que les trois indices le concernant, à @Corvus. Les clubs et associationsMaintenant que tu fais partie des nôtres, nous te conseillons (si ce n'est pas déjà fait) de consulter le listing des clubs et des associations et, si tu y trouves ton bonheur, de rejoindre un club ou une association. Dans le cas où tu aurais une idée bien précise en tête, tu peux toujours fonder ton propre club. l'internatComme tu dois le savoir, si ton personnage est encore en premier cycle, il a obligation de loger à l'académie. Aussi, nous t'invitons à faire une demande dans le listing des chambres. Pour les élèves de deuxième cycle, nous te laissons le choix : loger en dehors ou dans le campus. Concernant les professeurs, c'est par ici. le rp et les liensValidé et recensé, tu peux désormais te lier aux autres membres en créant ta fiche de liens ou partir en quête d' un partenaire de rp. Et, si tu te sens l'âme d'un aventurier, les défis de corvus n'attendent que toi ! les scénariosPour favoriser l'intégration entre les membres déjà présents, tu es limité à un scénario par compte. Si cela t'intéresse, nous t'invitons à créer ton propre scénario.
Et c'est (enfin) terminé pour la paperasse administrative ! Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter le staff ( @Elione Belrose ou @Ren Belinsky). Alors en attendant de te revoir, amuse-toi bien parmi nous ! |
| | | vous êtes empereur, seigneur, et vous pleurez ! Dim 23 Aoû - 23:38 Lucien Deslauriers je- tant de gentillesse je fonds merci à vous deux vous êtes des sucres omg |
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